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Si vous avez aimé Blame, donnez une chance à Ion Mud.
Complètement inspiré visuellement du célèbre manga, on retrouve en effet les paysages serrés, futuristique, design complexe et machines effrayantes. Cette histoire a pour avantage d'être bien moins floue, on comprend bien mieux les enjeux et l'histoire générale. Et je dois dire que ça fait bien plaisir. C'est un peu comme si on ne prenait que le meilleur de Blame, dans une histoire qu'on arrive enfin à comprendre, et c'est un vrai plus ! Si les perspectives architecturales sont superbes, je dois avouer avoir trouvé les proposions
humaines beaucoup moins maitrisées... Ce qui est assez étrange parce qu'il semble assez bien maitriser celles des aliens. Bon à part ça, et une fin... un peu bof selon moi. J'ai passé un excellent moment de lecture. Je me suis régalée des lignes, de l'intrigue, et des personnages qui sont vraiment riches en texture.
Finalement une série en plusieurs tomes ça aurait été chouette aussi !
Quand j'ai lu « apprendre si par bonheur », je me suis doutée que j'allais aimer Becky Chambers, dans « l'espace d'un an », j'ai retrouvé ce que j'avais aimé, c'est à dire, des personnages sains et bienveillants, le space-opéra aussi, et puis des personnages attachants et de belles histoires d'amitiés.
Mais étonnement, peut-être parce que « l'espace d'un an » est un premier tome, je me suis trouvée plongée d'avantage dedans, beaucoup plus prise par l'histoire.
Bien que le suspens ne soit pas la base de ses récits. Mais plutôt l'ambiance et les personnages.
Ce qui
ne m'empêche pas d'avoir hâte de pouvoir lire la suite.
Les cartes sont magnifiquement illustrées, de blanc sur fond noir, avec des accents dorés.
La tranche aussi est dorée, et la prise en main est très agréable.
J'ai immédiatement craqué et m'en suis acheté un, je n'ai pas regretté.
Le livret est très beau aussi, très clair, les cartes sont rangées par éléments et arcanes majeures/mineures.
Tout est très facile d'utilisation, si jamais vous êtes débutants n'hésitez pas.
Un petit livre, pleins d'inspirations et de méthodes simples (ou un peu moins) pour personnaliser vos baskets vous-même.
J'ai adoré.
Et je pense bien m'y essayer moi-même !
Une histoire qui touchera tous les amoureux du livre, dans un futur pas si loin de ce que l'on voit déjà arriver, et c'est peut-être la force de cette bande dessinée, une revisite du célèbre Fahrenheit 451, mais avec des détails très actuels.
Ne vous inquiétez pas, ça a l'air un peu effrayant comme ça, mais c'est une belle histoire, vous verrez !
C'est une bd qui aborde des questions difficiles et des sujets qui le sont tout autant, avec beaucoup de calme, de douceur, de contexte. Elle fait aussi une comparaison des générations, qui rappelle non seulement que ce qu'on a vécu nous, les prochaines ne vivront pas la même chose, elles vivront d'autres violences, mais aussi que nos mères en ont vécues, elles aussi de bien différentes des nôtres.
Voir poser des questions noir sur blanc, avec le calme d'Ovidie, m'a fait du bien. Un rappel, s'il en faut, que ça fait du bien de parler et de briser les tabous. Merci Ovidie !
Le dernier tome de la série valait bien l'attente (2 ans quand même ! )
Toujours aussi beau, doux, bienveillant et plein d'humour.
J'adore cette série !
Une conclusion bien faite, où l'on en apprend enfin plus sur ce qu'il est arrivé aux hommes disparus depuis 10 ans sur le front.
Si vous ne connaissez pas encore la série, foncez !
Dans la famille CHU, je voudrais... la petite sœur.
La famille Chu est pleine de surprise, si on connaît déjà le grand frère Tony, on connait aussi la sœur Toni, et leurs dons, Tony est cibopate, et inspecteur de police.
Safrane elle, est Cibopar, mais aussi criminelle. Elle essaye désespérément de se sortir d'un mauvais pas, tout en évitant le flair des membres de sa famille...
Pour ceux qui ne connaîtrait pas encore le fameux Tony CHU, cette nouvelle collection (gargantuesque) est arrivée ! N'hésitez plus, laissez-vous tenter !
L'inspecteur Tony Chu est... bizarre, tout d'abord, c'est un cibopathe.
Non non pas un psychopathe ! Encore que …
Tony Chu élucide des meurtres en mangeant.
Oui en mangeant ! Quoi ?
Et bien c'est là que ça se corse... Son don lui permet de savoir ce qui est arrivé... à ce qu'il mange !
Dans un monde où manger du poulet est à la fois dangereux et illégal, Tony est un peu un marginal, mais peut-être n'est-il pas
le seul ?
Une série que j'ai dévorée ! Et que je recommande chaudement.
C'est superbement écrit, très humain, très honnête. Passionnant. Et j'ai beaucoup pleuré.
Ce roman a beaucoup fait parlé, notamment à sa sortie, et j'avais évidemment décidé de l'ajouter à ma longue PAL (Pile à lire), tout en étant franchement pas pressée... C'était de la littérature... C'était une histoire de star montante à Hollywood, dans les année 60 (entre autre), pas vraiment mon dada, même si la promesse d'un caractère LGBT l'avait mis dans ma liste. Je dois avouer que la motivation... n'était pas au rendez-vous. Et puis est arrivé 2022, mes amies et moi avons décidé de faire un challenge, où chacune proposait un roman à lire à chacune. L'occasion de sortir de nos zones de confort. Enfin, surtout pour moi, parce que ma zone de confort est pas très étendue, et elle ne va pas jusqu'à la litté. Et mon amie Marine, m'a imposé (bon j'aurai pu dire non hein!) ce roman. Que j'ai aimé presque instantanément. Quand je l'ai ouvert, sans trop savoir ce que j'en attendrais, je me suis retrouvée plongée dedans, j'ai levé le nez, et boum, 50 pages étaient passées et je savais que j'avais un futur coup de cœur entre les mains.
C'est un roman qui joue sur un présent, avec un retour dans le passé très bien joué. Evelyn Hugo, qui a décidé de faire écrire ses mémoires, raconte sa vie. Ça n'a pas l'air passionnant ? Bah c'est uniquement parce que vous ne connaissez pas Evelyn Hugo, c'est une femme passionnée, passionnante, qui parle avec un recul sur sa vie, puisqu'elle la voit, du point de vue de la femme âgée qu'elle est devenue. Et extrêmement critique (parfois un peu trop, moi je trouve qu'elle est quand même sacrément honnête Evelyn, et qu'elle s'arrange avec ce qu'elle a pour s'en sortir, team Evelyn!!).