Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Un groupe d'hommes s'arrache à la noirceur de l'océan et surgit dans la fulmination des couleurs, derrière un Noir sémaphore : c'est Le Radeau de...
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Un groupe d'hommes s'arrache à la noirceur de l'océan et surgit dans la fulmination des couleurs, derrière un Noir sémaphore : c'est Le Radeau de la Méduse, le tableau de Géricault. Cet homme, l'esclave Alpha, plus grand que les autres sur la toile, fait signe, tendu vers le ciel. De tous les personnages, il est celui qui porte la responsabilité du sens. Celui qui sauve sur un radeau ceux qui l'ont opprimé à bord de la frégate naufragée la Méduse. Héros du roman, il est le symbole de l'espérance collective et de la délivrance. Géricault l'a voulu tel pour protester contre l'esclavage colonial. Martine Le Coz en restitue avec foi toute l'humanité.