Le musée disparu - Enquête sur le pillage d'oeuvres d'art en France par les nazis - Grand Format

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Hector Feliciano - Le musée disparu - Enquête sur le pillage d'oeuvres d'art en France par les nazis.
Printemps 1940 : au fur et à mesure de la progression de la Wehrmacht sur le territoire français, des services nazis de confiscation, spécialement... Lire la suite
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Résumé

Printemps 1940 : au fur et à mesure de la progression de la Wehrmacht sur le territoire français, des services nazis de confiscation, spécialement institués, entreprennent, à partir de listes établies bien avant le déclenchement de la guerre, le pillage et la confiscation, qui dureront tout le temps de l'Occupation, de milliers d'oeuvres d'art. Des collections publiques et privées, des tableaux mais aussi des millions de livres, manuscrits, meubles et objets de valeur partent vers l'Allemagne.
Volés systématiquement et méthodiquement, ou plus fortuitement par les officiers et les soldats, nombre n'ont aujourd'hui encore pas été retrouvés. En 1995, Hector Feliciano publiait en France le fruit de huit années d'enquête, au terme desquelles il avait retrouvé la trace de certaines oeuvres. Les traductions de cet ouvrage à l'étranger l'enrichirent chaque fois de découvertes nouvelles, puisqu'elles s'inscrivaient dans le mouvement international de restitution aux héritiers des biens confisqués et presque toujours récupérés après la guerre par les Etats nationaux, mais pas par les familles, faute le plus souvent d'informations.
Cette édition nouvelle est donc à la fois le récit du pillage des oeuvres d'art et une enquête sur la trace de certaines oeuvres, principalement à travers les exemples de la spoliation, sur ordre direct de Hitler ou du haut-commandement nazi, des collections privées des marchands Paul Rosenberg et Bernheim-Jeune, des banquiers David-Weill, de la dynastie Rothschild, de la famille Schloss, du collectionneur Alphonse Kann ou du financier Fritz Gutmann.
Le vol de ces collections d'un immense renom s'opère souvent avec l'aide active de marchands et des commissaires-priseurs français. Si après-guerre les oeuvres qui n'avaient pas été détruites dans les combats n'ont pas été restituées, c'est qu'il fallait compter avec la complaisance ou la négligence de maisons de vente aux enchères, voire de conservateurs de musée peu regardants sur l'origine des tableaux ni leur brusque réapparition sur le marché.
Feliciano met à nu ce système international qui s'est longtemps nourri de ces spoliations.

Sommaire

  • UN CERTAIN AMOUR DE L'ART
    • L'Astronome de Vermeer, ou le point aveugle d'Hitler
    • Le Rapport Kümmel, ou la réponse nazie à Napoléon
    • Goering, " l'ami de tous les arts ", ou les rivalités nazies
  • ANATOMIE D'UN PILLAGE
    • Galerie Paul Rosenberg, " art moderne et dégénéré " à vendre
    • Le pillage exemplaire des collections Rothschild
    • La collection Bernheim-Jeune, ou l'incendie du Portrait du maître aux cheveux longs
    • David David-Weill, ou le mécène dépouillé
    • La collection Schloss, ou des maîtres germaniques pour Hitler
  • ART A LA VENTE : LES NOUVELLES REGLES DU JEU
    • Les visiteurs du Jeu de Paume
    • Changement de propriétaire ; le marché de l'art parisien sous l'occupation
    • La Suisse, ou de l'importance d'être neutre
  • UNE HISTOIRE D'EPOUVANTE
    • Les retrouvés et les disparus
    • Un bref épilogue suisse : adjudication de squelettes au sein des Kunstkammern
    • Mirages sur le front oriental
    • Le purgatoire des MNR

Caractéristiques

  • Date de parution
    15/01/2009
  • Editeur
  • ISBN
    978-2-07-076275-0
  • EAN
    9782070762750
  • Format
    Grand Format
  • Présentation
    Broché
  • Nb. de pages
    394 pages
  • Poids
    0.58 Kg
  • Dimensions
    14,0 cm × 20,5 cm × 2,8 cm

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L'éditeur en parle

Printemps 1940 : des services nazis de confiscation, spécialement institués, entreprennent le pillage et la confiscation, qui dureront tout le temps de l'Occupation, de milliers d'oeuvres d'art. Collections publiques et privées, tableaux, millions de livres, manuscrits, meubles et objets de valeur partent vers l'Allemagne. Nombre n'ont aujourd'hui encore pas été retrouvés.

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