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Voilà encore une fois les brèves remarques et considérations de cet esprit vif et réactif que Jean-Louis Fournier agite, instable, prêt à tout dire et cela même si ça ne fait pas toujours plaisir à entendre ou à lire. Il y a ainsi des gens qu’on pourrait dire au premier abord « jamais content » mais la chose est plus complexe à regarder tout ça de près parce qu’il y a vraiment des choses agaçantes. Ces choses qui l’agacent sont un peu près les mêmes que les nôtres. C’est vrai quoi, les mites. Les mites sont sans pitié. C’est comme les moustiques, le temps, les pigeons
ou le progrès, les poubelles à roulette ou la machine au dos des balayeurs ou l’anticyclone des Açores. C’est leur faute et la liste est longue. Râler un bon coup permet parfois une critique plus large, plus générale et donnent parfois des envies de meurtre. C’est comme les « journaux intelligents », le bruit que font les scooters des mers, à croire que « les malfaiteurs de l’humanité », les « pousse-au-crime » se sont ligués sans compter les questions à la con, les serveurs vocaux ou les paparazzo d’oiseaux... Ça va certainement mieux en le disant ou en le lisant et je ne sais pas si ça soulage mais mieux vaut en rire…
La liste des choses agaçantes
Voilà encore une fois les brèves remarques et considérations de cet esprit vif et réactif que Jean-Louis Fournier agite, instable, prêt à tout dire et cela même si ça ne fait pas toujours plaisir à entendre ou à lire. Il y a ainsi des gens qu’on pourrait dire au premier abord « jamais content » mais la chose est plus complexe à regarder tout ça de près parce qu’il y a vraiment des choses agaçantes. Ces choses qui l’agacent sont un peu près les mêmes que les nôtres. C’est vrai quoi, les mites. Les mites sont sans pitié. C’est comme les moustiques, le temps, les pigeons ou le progrès, les poubelles à roulette ou la machine au dos des balayeurs ou l’anticyclone des Açores. C’est leur faute et la liste est longue. Râler un bon coup permet parfois une critique plus large, plus générale et donnent parfois des envies de meurtre. C’est comme les « journaux intelligents », le bruit que font les scooters des mers, à croire que « les malfaiteurs de l’humanité », les « pousse-au-crime » se sont ligués sans compter les questions à la con, les serveurs vocaux ou les paparazzo d’oiseaux... Ça va certainement mieux en le disant ou en le lisant et je ne sais pas si ça soulage mais mieux vaut en rire…