Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Tout a commencé par une lésion presque anodine de la glande pinéale. Peu à peu, la narratrice se rend compte que cette affection va chercher plus...
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Résumé
Tout a commencé par une lésion presque anodine de la glande pinéale. Peu à peu, la narratrice se rend compte que cette affection va chercher plus loin qu'elle ne l'imaginait. Elle se met à vider l'abcès des contrariétés diverses qui ont pu dérégler ses secrétions glandulaires. Elle se souvient de la jeune fille, au comportement intrigant, dont elle avait un jour emboîté le pas. Une filature qui se poursuivra quelques temps pour s'achever par son corollaire naturel : une aventure amoureuse. Elle élabore alors un plan de contre-attaque et de défense active destiné à se guérir par les moyens du bord, ou du moins à se consoler. On retrouve, dans ce troisième livre d'Olivia Rosenthal, l'humour et la puissance verbale de ses deux précédents. Une langue qui va puiser dans les plus vieilles ressources rhétoriques et dans les raretés précieuses pour dire toute la violence contenue d'une âme torturée d'aujourd'hui. Torturée, mais détachée de l'obscène complaisance qui va trop souvent avec. D'où le plaisir vif que le lecteur retirera de cette prose inventive, déraisonnable et auto-sarcastique.
Olivia Rosenthal est née en 1965 à Paris. Puisque nous sommes vivants est son troisième roman, après Dans le temps, (Verticales, 1999) et Mes petites communautés, (Verticales, 1999).