La Fin de Pardaillan - E-book - Multi-format

Note moyenne 
Paris, 1614. Louis XIII n'est qu'un jeune garçon de quatorze ans. La reine mère Marie de Médicis est régente et les Concini abusent de sa faiblesse... Lire la suite
0,00 € E-book - Multi-format
Vous pouvez lire cet ebook sur les supports de lecture suivants :
Téléchargement immédiat
Dès validation de votre commande
Offrir maintenant
Ou planifier dans votre panier

Résumé

Paris, 1614. Louis XIII n'est qu'un jeune garçon de quatorze ans. La reine mère Marie de Médicis est régente et les Concini abusent de sa faiblesse pour usurper le pouvoir et piller le trésor royal. Paris gronde. C'est dans ce contexte que le chevalier de Pardaillan est venu aider son fils pour retrouver sa petite-fille, née il y a cinq ans et enlevée quelques mois après à ses parents, Jehan de Pardaillaàn et Bertille de Saugis, probablement sur l'ordre de Fausta dont la vengeance s'est ainsi exercée sur son ancien adversaire.
Au cours de leurs recherches, les Pardaillan sont aidés d'un jeune cousin, Odet de Valvert, que le chevalier aime comme son fils. Lorsque Jehan est rappelé auprès de sa femme malade, c'est Odet qui devient le meilleur auxiliaire de Pardaillan. Or, Odet est passionnément épris d'une jeune fille pauvre, Brin de Muguet, en réalité fille naturelle de Concini et de Marie de Médicis, reine de France. Bibebook (Lien -> http://www.bibebook.com)

Caractéristiques

  • Date de parution
    14/03/2013
  • Editeur
  • ISBN
    978-2-8247-0918-5
  • EAN
    9782824709185
  • Format
    Multi-format
  • Caractéristiques du format ePub
    • Protection num.
      pas de protection
  • Caractéristiques du format Mobipocket
    • Protection num.
      pas de protection
  • Caractéristiques du format Streaming
    • Protection num.
      pas de protection

Avis libraires et clients

Avis audio

Écoutez ce qu'en disent nos libraires !

À propos de l'auteur

Biographie de Michel Zévaco

Normal021falsefalsefalseFRX-NONEX-NONE /* Style Definitions */ table. MsoNormalTable {mso-style-name:"Tableau Normal"; mso-tstyle-rowband-size:0; mso-tstyle-colband-size:0; mso-style-noshow:yes; mso-style-priority:99; mso-style-qformat:yes; mso-style-parent:""; mso-padding-alt:0cm 5.4pt 0cm 5.4pt; mso-para-margin-top:0cm; mso-para-margin-right:0cm; mso-para-margin-bottom:10.0pt; mso-para-margin-left:0cm; line-height:115%; mso-pagination:widow-orphan; font-size:11.0pt; font-family:"Calibri", "sans-serif"; mso-ascii-font-family:Calibri; mso-ascii-theme-font:minor-latin; mso-fareast-font-family:"Times New Roman"; mso-fareast-theme-font:minor-fareast; mso-hansi-font-family:Calibri; mso-hansi-theme-font:minor-latin; mso-bidi-font-family:"Times New Roman"; mso-bidi-theme-font:minor-bidi;} Michel Zévaco (1860-1918) était un journaliste anarchiste et écrivain français, auteur de romans populaires, notamment de la série de cape et d'épée Les Pardaillan.
Né en Corse, Michel Zévaco passe son adolescence en internat et obtient en 1878 son baccalauréat. Après une courte expérience de professeur à 20 ans, il entre dans l'armée où il reste quatre ans (sous-lieutenant de Dragons en 1886). Libéré de toute obligation militaire en juillet 1886, il s'installe à Paris. Attiré par les lettres et la politique, Zévaco devient journaliste, puis secrétaire de rédaction à L'Égalité que dirige alors le socialiste révolutionnaire Jules Roques.
Il se présente sans succès aux élections législatives de 1889 pour la Ligue socialiste de Roques. À cette époque, il rencontre Louise Michel, Aristide Bruant, Séverine... En raison de la virulence de ses propos, en pleine période d'attentats anarchistes, Zévaco est condamné à plusieurs séjours à la prison Sainte-Pélagie. En 1900, il abandonne le journalisme politique pour se consacrer à l'écriture de romans-feuilletons.
Il débute dans cette nouvelle carrière avec le roman feuilleton Borgia, publié dans le journal de Jean Jaurès La Petite République socialiste. Après le succès de ce premier feuilleton, Zévaco crée pour le même journal le personnage de Pardaillan. En 1905, il passe au journal Le Matin, dont il devient le feuilletoniste attitré avec Gaston Leroux. Entre 1905 et 1918, il écrit pour Le Matin publie neuf feuilletons dont Le Capitan et la suite des Pardaillans.
Ces feuilletons sont en parallèle édités par Fayard dans sa collection Le livre populaire. Durant la première guerre mondiale, il quitte Pierrefonds où il vivait depuis la fin du siècle pour s'installer à l'abri à Eaubonne (Val-d'Oise). Il y meurt en août 1918, sans doute d'un cancer.

Du même auteur

Vous aimerez aussi

Derniers produits consultés

0,00 €