Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Avec le Dernier de Rêve de Cléopâtre, Christian Jacq est fidèle à ce qui fait son succès : une maîtrise parfaite de son sujet et une prose pleine de poésie, à l'image des rites et des traditions de l'Egypte Antique. Un fois encore, l'Histoire se mêle parfaitement à la fiction ; le lecteur devient une part du rêve, ce rêve de grandeur d'une Egypte aujourdhui définitivement disparue.
J'ai eu beaucoup de mal à 'rentrer" dans le récit. Dès les premières pages, le style de la narration (présent de l'indicatif, phrases courtes, récit saccadé) m'a d'ailleurs fait perdre tout envie de continuer à lire.
Passionnant !
Avec le Dernier de Rêve de Cléopâtre, Christian Jacq est fidèle à ce qui fait son succès : une maîtrise parfaite de son sujet et une prose pleine de poésie, à l'image des rites et des traditions de l'Egypte Antique. Un fois encore, l'Histoire se mêle parfaitement à la fiction ; le lecteur devient une part du rêve, ce rêve de grandeur d'une Egypte aujourdhui définitivement disparue.