La peur n'évite pas le danger... Mais celui-ci arrive souvent sans crier gare. La peur. C'est ce qui nous pousse à aller de l'avant. On est avec Clémence, on l'accompagne dans sa reconstruction avec cette peur au ventre, cette peur qu’il ne revienne, cette angoisse constante qui nous fait nous retourner à chaque page. Elle nous empêcherait presque de tourner la page, cette peur qu'il ne surgisse à la suivante. Mais c'est pourtant elle qui nous tient et nous fait avancer, nous donne la force de continuer.
Dans ce roman, Sandrine Collette nous parle de relations toxiques, de leur emprise,
de la difficulté de s'en défaire pour repartir.
Clémence parviendra-t-elle à revivre?
la peur n'évite pas le danger...
La peur n'évite pas le danger... Mais celui-ci arrive souvent sans crier gare. La peur. C'est ce qui nous pousse à aller de l'avant. On est avec Clémence, on l'accompagne dans sa reconstruction avec cette peur au ventre, cette peur qu’il ne revienne, cette angoisse constante qui nous fait nous retourner à chaque page. Elle nous empêcherait presque de tourner la page, cette peur qu'il ne surgisse à la suivante. Mais c'est pourtant elle qui nous tient et nous fait avancer, nous donne la force de continuer.
Dans ce roman, Sandrine Collette nous parle de relations toxiques, de leur emprise, de la difficulté de s'en défaire pour repartir.
Clémence parviendra-t-elle à revivre?