En cours de chargement...
À découvrir
Attachante, intrépide et impulsive, Nimona est une sbire à nul autre pareil ! Au service du terrible(ment gentil) Lord Ballister Blackhear, elle va pousser son maître dans ses retranchements pour enfin réussir à se débarrasser de son ennemi juré.
Un comic drôle, sensible, aux apparences trompeuses à côté duquel il ne faut pas passer.
Une fois de plus, nous voilà face à la charmante bizarrerie de l'univers de Mortelle Adèle, toujours aussi génialement peste, habillée en Han Solo et dernier rempart de la galaxie face à l'impératrice Jade ! Mention spéciale pour la planète des parents et leur faune de légumes gigantesques.
Jouissif comme toujours.
J'ai mis du temps à trouver le bon moment pour lire ce roman, mais je ne regrette pas. D'une langue mélodieuse, surprenante, l'auteur nous invite à la rencontre de Paùl et de Jack, musiciens, liés par la passion mélodique, le premier plus sombre se languit de l'autre, solaire et insaisissable. La narration décousue nous propose de les suivre comme on feuillette des photos, dans des moments qui se suivent poétiquement, rythmés par cette écriture séduisante, atypique et par les pensées d'un chat gourmet versé dans l'art de faire ses griffes sur les livres. Un trio d'esthète qui valse pour notre plus grand plaisir entre les pages de ce joli roman.
Et si nous commencions par la fin ?
Ana et Zeno se retrouvent, retraités, amoureux comme au premier jour sous le dessin enthousiasmant de Jordi Lafebre. Ils nous entraînent dans la folle histoire de leurs amours, jusqu'à la première fois où leurs yeux se rencontrèrent, remontant le fil de leurs errances où ils se perdent souvent, pour se retrouver toujours. Une histoire belle, juste et terriblement attendrissante qui met du baume au cœur et un sourire au lèvres !
L'écriture de Carole Martinez est d'une beauté sauvage, entêtante et mystérieuse. Se plonger dans les pages qu'elle écrit c'est s'oublier, pour découvrir la vie de Lola aussi rigide qu'elle est boiteuse. Mais sous ses apparences austères, la postière qui oublie sa beauté vit avec un secret. Plutôt cinq, cinq cœurs de tissus qui renferment les confidences de ses aïeules et qui ne devraient jamais être ouvert. Mais lorsqu'un cœur craque pendant une nuit d'orage, les racines du passé remontent à la surface, avec leur entêtant parfum de roses...
Lu d'une traite, avec voracité et
le sentiment d'avoir vécu milles vies en le refermant.
Quand Job revient après être "allé chercher Dimitri", il fascine forcément, il émeut. Il inquiète aussi, car on pourrait juger qu'il s'efface, qu'il gagne en transparence quand la lumière le frappe. À côté de cet homme fantomatique, une bande de doux dingue rêve de changer le monde. La désobéissance civile s'organise à petite échelle d'abord, tandis que la plume de l'auteur nous dresse une Bretagne propice à la divagation des songes, à la beauté surannée du temps qui s'arrête et aux amours qui naissent. Ce livre sent la brume, le sel et la beauté des moments suspendus et m'a
enchantée comme un conte moderne.
Un livre fort, puissant, qui se lit avec les tripes, à la lueur d'une chandelle !
Oubliées du monde et de la clémence météorologique, les femmes de Vardo ont perdu tous leurs hommes sous des vagues aussi violentes que soudaines. La survie s'organise, les liens se tissent, l'émancipation pointe le bout de son nez, pour être menacée aussitôt par l'arrivée d'un nouvel homme qui amène dans son sillage le fanatisme religieux et la méfiance pour la culture de cette terre sauvage.
Oubliez le prince sans peur et sans reproches et la princesse coincée dans une tour !
Grâce à un dessin très doux, de l'humour et des personnages attachants Katie O'neill nous embarque dans un conte de fée qui joue avec les codes, brise les clichés et fait souffler un vent frais des plus appréciables sur nos poussiéreuses histoires d'enfance.
Mais rassurez-vous, tout le monde vécu heureux quand même !
C'est tout d'abord le dessin enchanteur de Alessandro Barbucci qui agrippe l’œil, puis, c'est le mystère qui nous attrape, la poésie qui nous submerge et les émotions qui restent à la fin.
Une petite merveille, à la frontière du rêve et de la réalité, à côté de laquelle il ne faut surtout pas passer !
Paradis protégé
Entre les parfums entêtants, les noms de fleurs qui enchantent, les danses envoutantes naît Rose, petit garçon au milieu de toutes les fleurs-danseuses du Jardin. De ses premières danses sur scènes à ses premiers émois, plongez avec délices dans la douceur feutré du cabaret avec cet enfant qui éclot dans une bulle joyeuse et hors du temps.
Lire le Jardin, c'est s'offrir un moment qui réchauffe le cœur comme un soleil de printemps.