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À découvrir
Imaginez : Le voyage dans le temps est à la porté de chacun d'entre nous, pratique, instructif et follement excitant. Sauf lorsque certain s'imagine pouvoir agir sur le cour officiel et changer par le fait tous les évènements postérieurs. La patrouille du temps a été crée pour agir lorsque cela se produit, et elle a fort à faire.
Poul Anderson est bien moins connu en france qu'un Franck Herbert ou un Asimov, c'est pourtant un auteur d'une rare créativité qui, à une époque où l'on ne jure que par les "pavés" de 500 pages, arrivait à vous faire rêver en moins de 100...
Pour moi
qui adore l'Uchronie, c'est le roi !
Merci Christophe pour se "prêt" à long terme... Ce gros bouquin renferme presque toute l'oeuvre de PG Wodehouse, mais on peut aussi se faire un petit plaisir avec juste une histoire en livre de poche.
Dan Simmons est mon auteur préféré. C'est aujourd'hui l'auteur de SF vivant le plus créatif qui soit (ça reste un point de vue !). En plus d'être génial, le type est un ancien prof de littérature et il adore semer tout un tas de réferences littéraires dans ces bouquins. Dans Ilium, il ose reprendre l'Iliade d'Homère, et le fait vivre d'une manière incroyable. La recette de Simmons est de mener en parallèle plusieurs récits, apparament sans rapport, mais qui convergent à un moment clef. Ce moment est à lire dans la suite de ce petit bijou : Olympos.
Bon, pour une fois, il n'est pas question de Harry Bosch, le flic récurent de Connelly, et ça change pas mal le rythme du bouquin.
Las Vegas, ses casinos, ses flambeurs, sa mafia, et ses voleurs... Cassie Black est en liberté sous caution et tente de se refaire une conduite dans l'espoir de récupérer sa fille. Elle va céder à ses anciens démons pour, le croit-elle, une ultime fois.
Hélas, ce qui aurait du être un banal casse dans la chambre d'un gros gagnant, va se transformer en une arnaque "pourri" dont Cassie va se retrouver victime. Je n'en dis pas plus : Le denouement est bien
foutu, ça va vite, c'est vraiment plaisant.
Fred Vargas a ses inconditionnels et il faut dire que son univers et ses personnages sont bien fichus. Pars vite et reviens tard aurait pu être un super polar. ça commence bien : Cette histoire de 4 renversé nous allèche bien, l'enquête part dans tous les sens, très vite, et puis "pof", pirouette à la Vargas, la fin arrive et oh! surprise!. Bon je n'en dis pas plus pour que vous ayez quand même envie de le lire, mais perso, je suis resté sur ma fin.
Un petit bijou de fraicheur et de bonne humeur ! On découvre une Afrique méconnu, heureuse et insouciante. Yopougon est un quartier populaire d'Abidjan, plein de "maquis" (restaurant dansant) où les "galériens" (jeunes gens oisifs) viennent "décaler" (danser) avec des "freshnie" (jolies filles). Toute une série de personnages attachant défilent sous nos yeux pour notre plus grand plaisir. Au fur et à mesure des tomes, l'histoire prend plus de consistance et le dessin de Clément Oubrerie s'affirme.
Commençons par les bons points : Un dessin soigné, une belle mise en page et des couleurs vives. Le scénario... ça commence comme un polar de Thilliez, et ça m'a captivé dès les premières pages. Mais ensuite ? Et la fin ? N'est-ce pas Boulet qui est resté sur une page blanche ??
J'ai pris beaucoup de plaisir à lire ce court récit d'Antoine Laurain.
Il nous replonge dans le milieu des années 80 (1986 plus précisément) et on a la même sensation que Proust avec sa madeleine : Les souvenir reviennent, la nostalgie un peu aussi.
Ce chapeau n'est qu'un prétexte, mais un si joli prétexte.
Course poursuite étonnante autour d'un camescope vidéo numérique emporté par un voyageur du temps à l'époque du Christ et caché quelques part à Jerusalem. C'est davantage un livre d'aventure qu'un bouquin de SF traditionnel. On a évidemment envie de savoir ce qu'il y a (ou pas) d'enregistrer sur la cassette, mais au delà, c'est la façon de mener le récit, le style d'Eschbach qui nous entraine. Vraiment sympa, mais hélas jamais publié en poche.
Replay :
Qui n'a jamais rêvé d'une seconde chance ? Revivre sa vie, un instant du passé que l'on n'a pas vu ou pas su retenir ?
Voilà ce que Taniguchi nous donne à savourer dans ce merveilleux Manga, d'une sensibilité rare.