En cours de chargement...
À découvrir
LE DERNIER LIVRE DE LA TRILOGIE !!!
La France est de nouveau prise dans le feu de l’Histoire . L’arrivée des nazis en 1940 provoque le célèbre exode français, pourtant réputé avoir la meilleure armée européenne. L’auteur nous retranscrit avec pudeur cet épisode confus et malheureux, fruit de milles tentatives d’analyses historiques. Pierre Lemaître, par la profondeur historique et la beauté de son écriture, nous offre une fin époustouflante.
LE DERNIER LIVRE DE LA TRILOGIE !!
Encore une fin de trilogie. Tous les mêmes vous me direz ! Et bien non, pas avec Beigbeder !! Nous voici embarqué dans les coulisses de la radio, où notre cher Octave Parango est « chroniqueur du rire ». Ce qu’il nous dévoile est saisissant : le rire est devenu une marque, il n’a plus de limite, de tabous. Un marqueur certes de la liberté d’ expression mais qui sert en réalité à nous évader, l’espace d ‘un instant, d’une vie faite de pressions et d’obligations. Une fin audacieuse, où l’auteur nous partage sans langue de bois sa vision des choses !
2014. Tuer son pire ennemi n’est pas forcément la meilleure chose à faire. Art Keller, l’a appris à ses dépens, en tuant Adan Barrera. Lui le nouveau directeur de la DEA, au sommet de son prestige, peut maintenant entraîner toute la puissance de cette l’institution contre les barons de la drogue mexicaine. Mais voilà, Adan Barrera n’est plus et avec lui la paix qu’il instaurait. La guerre reprend de plus belle, visant à destituer le cartel de Sinoala. Les vieux amis deviennent vos ennemis, les cartels anciennement vaincus renaissent, les meurtres s’amplifient de nouveau. Et
la drogue dans tout cela ? Elle déferle toujours aux États-Unis, plus dévastatrice que jamais. Car les cartels l’ont bien compris : pour être le leader il convient de proposer toujours mieux, et au passage de soudoyer la Maison Blanche…
La fin d’une trilogie époustouflante, fruit de 14 ans de recherche, qui met à nu le fonctionnement des cartels mexicains. La cruauté n’a aucune limite, pour devenir le roi et le rester.
Lou, élève surdouée, décide de faire un exposé sur les sans-abris, et rencontre No, enfant de son âge vivant dans la rue. Nous découvrons ainsi deux mondes où les priorités et les problèmes immédiats sont bien différents. Derrière un innocent exercice scolaire se cache le douloureux et complexe message de l’intégration. Un chef d’œuvre.
Ce livre est une énigme. Celle que l'on s'efforce de percer et qui n'en finit pas de nous plonger dans l'incertitude. Seth jeune homme censé être mort se réveille. Comment est-ce possible ? Son périple commence, les questions fussent, les réponses, elles, restent à trouver. Mais il n'est pas seul. D'autres comme lui sont sur ce bout de terre, qu'ils nomment peut-être à tort, l'enfer. Une histoire comme on en connaît peu. De celle que l'on ne peut oublier, tant elle nous a chamboulée.
2004. Nous avions quitté Art Keller auréolé de gloire et Adan Barrera fièrement jeté en prison. Hélas la course poursuite recommence le jour où Adan s’évade et compte bien reprendre sa place de chef sur les cartels de drogue. Seulement voilà, le Mexique est divisé entre quelques cartels d’envergure, où chacun se voit bien devenir le nouveau roi. Parmi eux, le cartel de Golfe et ses terribles « Zetas », qui sont la nouvelle force dominante face à la famille Barrera. La guerre civile inévitablement éclate et apporte son lot de morts dans une spirale infernale. Désormais l’adversaire
doit être anéanti et non plus neutraliser, c’est pourquoi la lutte à mort sera impitoyable.
Le premier tome n’était qu’un amuse-gueule. Avec ce nouvel opus, préparer vous à pleurer devant tant de cruauté et à espérer qu’un vainqueur soit déclaré.
Avoir 50 ans c’est une étape. Arriver jusqu’ici à demander des efforts et apporter son lot de réussite et d’échec. Et voilà que soudainement, l’on pense être devenu inutile. Il suffit pourtant de regarder en arrière pour visualiser la famille que l’on a créée, les emplois obtenus, les projets accomplis, les amitiés conservées. La sagesse et l’expérience font de nous des individus capables d’un recul suffisant que la jeunesse ne peut que nous envier. Voilà pourquoi c’est un tournant mais non la fin d’une existence. Notre personnage, Yvan est un homme en quête de
sens après la mort de ses parents et la perte de son emploi. Mais les rencontres qu’il fera et les discussions qui s’en suivront lui feront prendre conscience des avantages innombrables offertes par son nouvel âge. Une BD bluffante et nécessaire. Une ode à l’optimisme et à la vie.
Henning doit jongler entre son rôle d’époux, de père et d’employé d’édition. Une triple casquette qu’il décide de plaquer, une journée, pour gravir à vélo une montagne. Ainsi commence son introspection, sur ses réussites, ses doutes et ses échecs. Son panier de bonnes résolutions remplis, il pense avoir fait le tour de la question. Pourtant, ce qu’il trouvera au sommet le fera tout remettre en question.
Un brillant roman, qui révèle petit à petit tout son potentiel. Henning a beau être un anti-héros, nous nous y attachons vite, trop vite.
Une des meilleures trilogies sur les cartels de la drogue du Mexique !!
Ce petit monde nous ait décrit avec minutie : son règne sans partage sur la politique mexicaine, les pots de vin aux élus locaux, une autorité exacerbée, le règne de terreur infligés aux traîtres, aux gangs rivaux et aux policiers. Qui pourrait bien les arrêter ? Un flic perspicace, suicidaire, têtu et intelligent comme Arthur Keller. Il décide de s’attaquer à la famille Barrera, quelle que soit le prix et les risques. La course-poursuite commence...
Un univers nouveau nous ait dévoilé. Un milieu sans
pitié, où règne le pouvoir, l'argent, la torture et malgré tout l'importance de la famille et de la religion. Un monde plein de contradiction, où s'entremêle la politique et le profit, qu'il est bien difficile de ne pas haïr.
A lire tout simplement !
Une cuisine authentique
La cuisine de nos grands-mères, l’on s’en souvient, l’on s’en délectait les papilles, on en redemandait, bref on prenait plaisir à manger. Voici que le célèbre cuisinier Jean Imbert rend hommage à sa grand-mère, en restituant pour nous les recettes qu’ils l’ont tant marqué. Il en résulte des recettes savoureuses, où la simplicité rime avec gourmandise !!