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anxieux Lucide n'a pas encore complété son profil
Allons enfants de l écriture il est temps de VOUS SECOUER ET DE LIRE.
Lisez autres récits de guerre celui là est insipide, inexistant;
Quelle écriture ,? quelle réalité ? c'est plat, rien à dire.
Pour parler de la guerre deux solutions, on l'a vécu ou bien l'on a été soumis à des horreurs similaires dont on est capable de transmettre l'intensité.
Quand on a pas la douleur on ferme ses parenthèses sur son propre silence oh !!!!!
C'est le règne des médiocres alors ?
Merde un type a vélo à la campagne et bla bla bla bla.
Foncer baïonnette au fusil et entripailler en courant
l'ennemi c'est autre chose non ?.
Ce truc là sera même plus dans les chiottes public dans deux ans.
Qu'on le foute en pruison l'Echenoz on verra si ça pond autre chose, baratineur prétentieux, comme si il en manquait des récits sur la guerre. Ah mais pour taper un prix Goncourt c'est toujours bien la guerre, les vioques des académies ont plus que ça pour se donner de l'importance, donner des prix à un truc de leur époque disparue, la guerre, 14 18 ou la grande, sont contents.
Un peu d'humanité Echenoz, arrête de payer tes impôts et exile toi au japon, c'est plus sincère qu'écrire pour payer ta dette à l'état.
Gueule que t'en peux plus décrire, t'en as marre, vole ton éditeur, en procès, là d'accord on aura de l'aventure, de l'empathie pour ton manque d’inspiration, t'y seras en guerre là.
Ah qu'on t'y reprenne pas, pitié.
Et si t'as du pognon, écris mais caché,pour toi,publication posthume, lus à rugir, voilà.
Bien à ton manque de sincérité.
CARLOTTA NO WAY
Bon, c'est tout mêlé, de la pseudo psychologie, tout et rien.
On s'y perd pas vu qu'on s'y trouve nulle part. Encore des histoires, on voit que c'est une journaliste, tout expliqué; etc.
On espère être prit mais on est continuellement éloigné d'un quelconque sujet.
On reste en périphérie d'une possible vérité, on grignote des idées, des points de vue.
De la télé lecture où l'on zapper par points de vue interposés.
On espère rien de rien, un gentil coté policier mais sans envergure.
On est loin de Dostoïevski...imaginez le traiter le même sujet.
Voilà l’abime..