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Rien ne la prédestinait à vivre. Et pourtant…
Le caractère bien trempé d’Aria lui permet de traverser les épreuves, et la conduit à un destin insoupçonné.
Ce premier roman est une petite perle perse ! Les personnages sont attachants et justes. Avec eux, on plonge dans le cœur battant de Téhéran, on vibre avec les enfants des rues, on tremble avec la bourgeoisie, et on rêve au grand simorgh.
Qui est cette femme robuste et timide à la tête de ce grand restaurant bordelais ? D'où lui vient ce don de satisfaire l'appétit des mangeurs, de surpasser leurs espérances ?
A travers les mots d'un homme qui fut le commis de la cheffe, Marie Ndiaye dessine le portrait intime d'une femme talentueuse et humble, et, en filigrane, celui d'un amour total.
Une œuvre magnifique dont on ne peut interrompre le cours tant l'authenticité des personnages se révèle de plus en plus nettement à la conscience du lecteur.
Laissez-vous glisser lentement dans ce délicieux roman !
Un superbe recueil de poèmes. Simples, pertinents, et invitant à la contemplation.
Merci François Cheng !
Ce récit vous prend par la main (qu'il ne la lâchera jamais), et vous embarque dans l'histoire bouleversante d'une petite fille devenue femme, malgré tout.
Ses premiers « propriétaires » l'ont appelée Bakhita, la chanceuse. Elle a dû s'accommoder de ce surnom, jusqu'à en oublier son vrai nom, celui que son père a dit à la lune le soir de sa naissance.
et cet oubli est un désespoir.
Elle grandit dans la violence foudroyante de l'esclavage, la peur, et la lutte pour la survie.
Son parcours est celui d'une femme qui a
su garder sa tendresse et son humanité malgré les supplices. Mais c'est aussi un formidable hommage à ceux qui ont subi l'esclavage, et plus largement à tous ceux qui ont faim.
Véronique Olmi a su parler magnifiquement de cette femme incroyable. Il n'y a jamais de pathos, de jugement, de misérabilisme. Le ton est juste. percutant. puissant. La langue inventée, bancale, bricolée par cette femme qui a oublié sa langue natale est subtilement rendue par le style et le rythme du livre.
C'est pour moi indéniablement l'un des plus beaux livres de la rentrée littéraire.
Zoulikha est une héroïne de guerre, une femme au caractère bien trempé, résolue et confiante. Mais c'est aussi une mère, une amante, et une amie formidable.
Plusieurs voix de femmes s'élèvent comme un chant pour redessiner la vie de cette femme libre. On y découvre aussi, en creux, comment la vie a continué, malgré tout, pendant la guerre.
À découvrir ou redécouvrir absolument !
Qu'advient-il des cadets dans une illustre famille où seul l'aîné a le droit d'hériter et de se marier ?
Condamnés par leur aïeul, Harb, puis Zeid, et Chehab vont tenter de fuir la malédiction. Et de braver l'interdit.
Fuir au Mexique, partir à la recherche d'un commandant russe jusqu'aux frontières chinoises, fuir à la guerre...
Mais l'amour les rattrape toujours.
Charif Majdalani signe ici une très belle épopée familiale, qui nous fait voyager, et découvrir, en creux, l'histoire du Liban, de ses terres, de ses montagnes et de son peuple.
On se régale !
Depuis quand il faut se marier quand on s'aime ?
Et le divorce ? Pourquoi c'est si compliqué ?
Un livre brillant et pratique, comme un petit guide sur l'histoire de l'amour, à avoir sous la main en cas de gros chagrin ou de questions existentielles !
Tout y passe, tout est décortiqué :
de la sensualité à l'abstinence, du libertinage au mariage de raison, en passant par les méandres de culpabilité du divorce moderne. Sans oublier les couples biscornus, pervers, voire (osons) heureux !
Même s'il vit à la ville, c'est à la montagne que Pietro se sent vraiment exister. Enfant, il passe tous ses étés à parcourir les mêmes rivières, forêts et rochers, non loin du mont Rose, où il liera une amitié indéfectible avec Bruno, l'enfant-montagnard, qui lui, ne redescend jamais à la ville.
Paolo Cognetti signe ici un très beau roman au masculin, et nous fait toucher du doigt l'essence d'une amitié silencieuse et indéfectible, ainsi qu'une relation père-fils (é)mouvante.
C'est un peu un ovni dans la marre que vous avez sous votre souris !
Crawford était un riche employé d'un Think tank à Washington, mais il a tout lâché pour... ouvrir son garage de réparation de motos.
Ce livre est son manifeste , et c'est revigorant !
Nous retraçons l'histoire du travail en occident, et l'ascendant qu'a pris le travail intellectuel sur le travail manuel.
Pourquoi la logique actuelle veut qu'on jette une machine plutôt qu'on ne la répare ? Et pourquoi ce sentiment que dans notre travail est vidé de sens ?
Ces deux questions ne sont pas si étrangères l'une
à l'autre qu'il n'y paraît.
La preuve.. en lecture !
Jubilatoire !
Vous trouverez dans ce petit livre très sérieux, les grands principes du bouddhisme...illustrés avec humour et finesse !
On rit, et on gamberge. Un vrai talisman à lire et relire au quotidien.