Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Valérie Belin utilise la photographie comme une tentative obsessionnelle d'appropriation du réel.
Elle cherche à éviter l'anecdote de la forme et...
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Résumé
Valérie Belin utilise la photographie comme une tentative obsessionnelle d'appropriation du réel.
Elle cherche à éviter l'anecdote de la forme et à pénétrer au cœur des choses. Ses photographies d'objets en verre réalisées à Venise ou les miroirs pris dans des magasins de décoration constituent l'aboutissement de cette recherche.
Parallèlement, elle s'intéresse à la problématique du corps : les robes de mariée, comme les épaves de voitures, parlent de l'absence du corps et d'une certaine volonté de mémoire. Dans la série des fleurs, les bouquets paraissent se faner avant même d'éclore ; aux halles de Rungis, les carcasses nous parlent d'animaux invisibles.
Valérie Belin utilise toujours le noir et blanc, ces couleurs qui font ressortir la lumière. Le choix des grands formats nous plonge au cœur des sujets ; leurs cadrages serrés, coupés de tout contexte, les lieux encombrés et miroitants rendent obsédantes ces images d'une grande beauté.