Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Ce qui a toujours motivé Thérèse, dans sa vie personnelle comme dans ses entreprises, c'est le refus de la médiocrité, de la frilosité, de la fatalité....
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Ce qui a toujours motivé Thérèse, dans sa vie personnelle comme dans ses entreprises, c'est le refus de la médiocrité, de la frilosité, de la fatalité. Elle ne pouvait accepter ou supporter les demi-mesures. Dans la vie spirituelle aussi, dans la quête de Dieu, qui inclut, pour cette grande "active", les décisions et les travaux de tous les jours, elle ne peut envisager que le "chemin de la perfection".
Y a-t-il un secret de la "perfection" ? Dans ce petit livre, ce librillo, qui lui a été arraché comme la plupart de ses autres écrits, Thérèse ne cesse de répéter aux "âmes généreuses et royales", sous les formes les plus diverses, ce qui est au fond le secret de tout amour: se déprendre de soi, de son "point d'honneur", pour laisser toute la place à Dieu et au prochain.
Le Chemin de la perfection, présenté modestement comme "quelques pensées sur l'oraison", apprend en réalité à tout chrétien qui le désire "l'art de traiter avec Dieu" et de vivre avec le prochain. Et Thérèse y a mis tout son génie, toute sa vivacité, toute son intelligence.