Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Quel avenir se forge notre société ? Le chômage est-il incurable ? Les emplois " jeunes " du gouvernement socialiste sont-ils un nouveau cache-misère...
Lire la suite
Quel avenir se forge notre société ? Le chômage est-il incurable ? Les emplois " jeunes " du gouvernement socialiste sont-ils un nouveau cache-misère ? La réduction du temps de travail est-elle une action généreuse ou calamiteuse ? Faut-il écouter ceux qui ne jurent que par la libéralisation des échanges mondiaux, ou ceux qui ne croient plus qu'à la débrouille ?
C'est pour donner du sens à " ce bruit et à cette fureur " du monde qu'il faut lire Guy Aznar, Alain Caillé, Jean-Louis Laville, Jacques Robin et Roger Sue. Pionniers, chacun à leur façon, de réflexions et de propositions novatrices sur le revenu minimum, sur le temps de travail et sur ces activités construisant une " économie solidaire ", un " tiers secteur " ou un " secteur quaternaire ", les auteurs proposent ici les lignes de force d'un projet économique et politique visant à dépasser la crise du salariat : ce qu'ils appellent " économie plurielle " est une façon de concevoir l'économie pour sortir du face-à-face entre l'Etat et le marché, afin d'agir concrètement sur le terrain économique, politique, associatif... Cet ensemble cohérent de propositions, déjà expérimentées, en France ou ailleurs, ne peut laisser personne indifférent.
Ce livre en forme de débat - la démocratie se nourrit des différences - ouvre de nombreuses portes à ceux pour qui le capitalisme n'est pas un horizon indépassable.
Sommaire
Face à la crise du salariat
Les limites des politiques de croissance
Réduire le temps de travail : une fin autant qu'un moyen