Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Ce " roman " par lettres (publié en 1951) n'est pas une œuvre de fiction. Les lettres en question ont réellement été écrites, au tournant du siècle,...
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Résumé
Ce " roman " par lettres (publié en 1951) n'est pas une œuvre de fiction. Les lettres en question ont réellement été écrites, au tournant du siècle, par une jeune fille : Magdalene Pauli (ici camouflée sous le pseudonyme de Marga Berck). Lettres tenues dans l'ombre pendant un demi-siècle, puis livrées au public sans la moindre retouche par leur auteur, devenue entre-temps une vieille dame délivrée de bien des illusions. Son livre, considéré aujourd'hui en Allemagne comme un classique, vingt fois réédité, devait bouleverser Thomas Mann au soir de sa vie : " Une œuvre d'art authentique et juste, un jaillissement de vie... ". Un livre culte qui devrait avoir un peu le même destin, chez nous, que celui de Marcelle Sauvageot, Laisez-moi.
Ce "roman" par lettres (publié en 1951, jamais traduit en français à ce jour) n'est pas une oeuvre de fiction. Ces lettres ont été réellement écrites, au tournant du siècle, par une jeune fille amoureuse qui confiait là tous ses secrets (désirs, rêves, tourments) et qui, prête à braver les conventions bourgeoises, dut malgré cela s'incliner au nom de la "décence" , et épouser un homme qu'elle n'aimait pas. Aucune "littérature" dans ces pages frémissantes de vie qui devaient bouleverser Thomas Mann au soir de sa vie, et qui connurent dans l'Allemagne de l'après-guerre un immense succès.