Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Fin - et apothéose - de la " Trilogie de Gormenghast ", le chef-d'œuvre de Mervyn Peake. Ces trois romans, que la critique égala, pour leur baroquisme...
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Fin - et apothéose - de la " Trilogie de Gormenghast ", le chef-d'œuvre de Mervyn Peake. Ces trois romans, que la critique égala, pour leur baroquisme inspiré, au meilleur Tolkien : Titus d'Enfer, Gormenghast... et ce Titus errant, le plus émouvant peut-être, qui livre au lecteur les clés secrètes de toute l'aventure - et lance le héros sur les sentiers pleins d'embûches de la liberté.
Fin et apothéose de la Trilogie de Gormenghast, le chef-d'oeuvre de Mervyn Peake que la critique compara en son temps à Tolkien, Rabelais ou Lewis Carroll, probablement à cause de sa démesure baroque. Au coeur de la forteresse labyrinthique de Gormenghast, Titus, le soixante-dix-septième comte du nom, a aujourd'hui grandi. Il est prêt à quitter ce monde fantastique et clos, cet espace de tous les délires où l'enferment des rituels codifiés aux origines depuis longtemps perdues... Voyage initiatique, passage à l'âge adulte, Titus errant livre au lecteur ému les clés de l'aventure, celles de la quête d'une improbable mais nécessaire liberté. " Même il en projetait encore un autre... où il devait y avoir des neiges, des montagnes, des îles, des rivières, des archipels, des monstres, des hypocrites, des anges, des démons, des mendiants, des vagabonds"... Nous ne savons pas, mais en lisant Mervyn Peake, il semble toujours que nous attendions l'aurore. " André Dhôtel"