Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
THERAPIE. Lawrence Passmore a mal au genou. Mais son problème est beaucoup plus vaste. Il se livre en vain à toutes les thérapies possibles. Plus il...
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THERAPIE. Lawrence Passmore a mal au genou. Mais son problème est beaucoup plus vaste. Il se livre en vain à toutes les thérapies possibles. Plus il se sent malheureux, plus les difficultés conjugales et professionnelles semblent s'accumuler. Ses tentatives d'aventures sexuelles sont loin de lui apporter la compensation souhaitée. Jusqu'à la trouvaille finale... David Lodge nous fait ressentir avec une drôlerie inimitable l'accablement croissant de son narrateur. Au passage, il dresse un portrait caustique du monde de la télévision... et des thérapeutes. C'est une vérité profonde de notre univers quotidien qui passe à travers le divertissement. PENSEES SECRETES. Dans le cadre de la mythique université de Gloucester, deux personnages se sont engagés dans le jeu complexe de la séduction : Ralph Messenger, spécialiste des sciences cognitives, et Helen Reed, romancière fragilisée par son récent veuvage. A travers une succession d'événements et de retournements de situation, les personnages découvrent, avec brio, qu'on se trompe souvent sur soi et presque toujours sur les autres. " David Lodge explore avec un humour corrosif les sentiers tortueux de la trahison amoureuse, sans jamais quitter des yeux les travers de la société. " Marie-Caroline Aubert, Marie-Claire " Pensées secrètes est sans nul doute l'un des romans les plus habiles de David Lodge. Sans abandonner l'humour, ni la satire, sans jamais sombrer dans la caricature ni la cuistrerie, il est d'une méchanceté inouïe. " Christine Ferniot, Télérarna