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Mark SaFranko sort de nulle part. Un homme sans limites ni frontières, une espèce d'ovni littéraire que seuls quelques initiés sont capables de localiser. Signes particuliers : un goût immodéré pour la prise de risques, une prose nerveuse et racée. Une écriture au corps à corps dans la lignée d'un Fante, d'un Miller, d'un Bukowski. SaFranko puise ses histoires aux profondeurs de sa propre existence et c'est une manière efficace de donner du punch à sa prose et quelques uppercuts à ses lecteurs.
Chambres de meublés pourris, jobs sans envergure, histoire d'amour et substances toxiques. Larmes amères et sexe pour Max Zajack, le héros, amoureux fou d'Olivia Aphrodite Tanga, beauté énigmatique et " putain " plus ou moins affirmée qui l'entraîne dans l'abîme d'une passion addictive, d'une fascination destructrice. Max avance sur un chemin sombre. Au bout, il trouvera l'apaisement. Départ immédiat pour un voyage de lumière et de ténèbres mêlées...
Putain d'Olivia Mark Safranko
Dans la digne lignée d’un Bukowski ou John Fante, une histoire d’amour et de dépendance arrosée de whisky, un loser et son insaisissable Olivia. Une vie matériellement au jour le jour, une passion addictive, on frôle l’hystérie. Le personnage principal passe 300 pages à se faire essorer, on ne connaît pas grand-chose de la vie de l’auteur mais ça sent le vécu… C’est d’ailleurs le cas de tous les livres que j’ai pu lire chez cet éditeur. Sans concession…