Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Metropolis, à sa sortie en 1986, fut salué par la critique américaine comme un livre " écrit tel un chant d'amour dédié aux villes en général...
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Metropolis, à sa sortie en 1986, fut salué par la critique américaine comme un livre " écrit tel un chant d'amour dédié aux villes en général et à New York en particulier ". Metropolis, c'est un New York à la première personne, une déambulation dans le tohu-bohu urbain, avec toujours un regard tendre tourné vers ces milliers d'immigrants juifs, italiens, débarqués à Ellis Island au début du siècle passé, comme ce père fourreur, fils d'un vendeur de pommes. " La langue qu'il parle est celle de la blessure ", dit Jerome Charyn. Et lui, fils d'immigrants ayant pour uniques racines cette île battue par le vent, raconte par bribes sa vie, en même temps que celle de sa ville mythique, électrique, à travers une série de portraits qui continuent à sculpter le destin de la Cité : Arnold Rothstein le maffieux juif, Roxy l'homme des cinémas et de Radio City, Douglas Leigh le magicien éclairagiste, Madona la fille matérialiste, le maire Koch King Kong, Hugh Mo le " juge bourreau " de Chinatown, et d'autres. Pour cette édition, Jerome Charyn a écrit une postface " Les cavaliers de la nuit : une nouvelle fin ".