Non, le narrateur n’est pas schizophrène ; oui, il a bien un frère jumeau et ne sort de la cave qu’un jour sur deux.
On devine, au fil des pages, que la mère n’avait pas toute sa tête. Du coup, la vengeance tourne court. Qui plus est, le narrateur tombe amoureux, ce qui complique les relations avec son frère. Sans oublier le Turc qui leur fournit la drogue qu’ils revendent afin d’avoir un revenu.
Et puis l’entité est scénariste pour le cinéma. Mais sa passion, ce sont les explosifs. Chaque fois que la situation devient un peu tendue, il cherche comment faire exploser
la maison accidentellement.
Vous l’aurez compris, des personnages bien barrés et une narration qui procède par tics (etc…. entre autre).
On croise du beau monde dans ces pages : Anne Carrière elle-même, ainsi que Maud Mayeras (excusez du peu), entre autre.
Mais la question subsiste en fermant ce livre : quelle est la part de vérité dans ce récit ?
L’image que je retiendrai :
La citation de David Lynch répétée plusieurs fois « Je ne vois pas pourquoi les gens attendent d’un oeuvre d’art qu’elle veuille dire quelque chose alors qu’ils acceptent que leur vie à eux ne rime à rien« .
https://alexmotamots.wordpress.com/2015/03/14/manuel-de-dramaturgie-a-lusage-des-assassins-jerome-fansten
Manuel de dramaturgie
Non, le narrateur n’est pas schizophrène ; oui, il a bien un frère jumeau et ne sort de la cave qu’un jour sur deux.
On devine, au fil des pages, que la mère n’avait pas toute sa tête. Du coup, la vengeance tourne court. Qui plus est, le narrateur tombe amoureux, ce qui complique les relations avec son frère. Sans oublier le Turc qui leur fournit la drogue qu’ils revendent afin d’avoir un revenu.
Et puis l’entité est scénariste pour le cinéma. Mais sa passion, ce sont les explosifs. Chaque fois que la situation devient un peu tendue, il cherche comment faire exploser la maison accidentellement.
Vous l’aurez compris, des personnages bien barrés et une narration qui procède par tics (etc…. entre autre).
On croise du beau monde dans ces pages : Anne Carrière elle-même, ainsi que Maud Mayeras (excusez du peu), entre autre.
Mais la question subsiste en fermant ce livre : quelle est la part de vérité dans ce récit ?
L’image que je retiendrai :
La citation de David Lynch répétée plusieurs fois « Je ne vois pas pourquoi les gens attendent d’un oeuvre d’art qu’elle veuille dire quelque chose alors qu’ils acceptent que leur vie à eux ne rime à rien« .
https://alexmotamots.wordpress.com/2015/03/14/manuel-de-dramaturgie-a-lusage-des-assassins-jerome-fansten