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futur
L’entrée en matière se fait par une liste des personnages présents, dans leur ordre d'arrivée. Je suis un peu déroutée par cette façon de procéder, qui dans les livres historiques, permet de situer les intervenants mais qui dévoile un peu trop de l'histoire, à mon gout dans les autres livres. J'y ai jeté un oeil avant de réaliser cette chronique, Pauline Alphen ne donne pas trop de détails, évoque juste les noms et les lieux de rencontre...
En suivant, l'auteur nous a composé un magnifique poème, sur le lecteur lui-même. De la poésie, on en retrouve tout au long des pages,
au travers des mots des Nomades, mais aussi en citation des carnets de Sierra, mère des deux héros. Évoquer son nom, c'est déjà entrer dans l'histoire. Sierra est la mère disparue le jour de leurs trois ans... Et son absence est une grande partie de l'intrigue. Tout tourne autour de ce personnage. Les caractères des enfants, celui du père ainsi que la raison de cette disparition. Les évènements relatés dix ans plus tard ramènent tous à ce jour funeste. Et si...
Car si Jad est celui qui détient les "pouvoirs" (chut) du livre, Claris est celle qui lit, avance, fonce. Un sacré caractère ! c'est assez drôle parfois, un peu lassant par moment. L'auteur a su montrer que Claris ne voulait rien savoir de sa mère, nier jusqu'à son existence. Cela donne des scènes fortes en émotion, mais un peu lassante par leur redondance. De plus le livre étant destiné à un public assez jeune, les choses sont explicité longuement. Un petit bémol, pour ma part.
Comme je l'ai dit plus haut, tout revient sans cesse à Sierra ! Et si elle n'avait pas disparu finalement ? Blaise, précepteur aux cheveux depuis fort longtemps grisés par l'âge, va parcourir un long voyage initiatique en quête de réponses. Il entraînera dans sa suite, Ugh, le fils de la cuisinière du château et nounou de Claris et Jad. Pauline Alphen a effectivement décidé de conter l'histoire de plusieurs membres de cette famille. Jad, Claris se voient décerner la primeur, une majorité des chapitres les concernant. ugh tient un rôle secondaire très convaincant, avec quelques passages glorieux. Blaise et ses deux acolytes (Athéna et le Gris) sont mis en avant dès que l'histoire se tourne vers les mystères du passé, vers les tentatives de compréhension...
Toutefois, ce livre se veut aussi l'évocation des livres. A de nombreuses reprises, l'auteur nous renvoie vers d'autres lectures, toujours dans l'univers fantasy : Harry Potter, Ewilan, ... et une ode au magnifique Seigneur des anneaux. Pauline Alphen les cites, comme des lectures faites par Claris, la jeune héroïne...
Je terminerai cette présentation par l'évocation du temps. J'ai volontairement tu ce point jusqu'à présent, car il est un des sujets fort du livre et pour moi la plus grande réussite de cette création. Du coup, je vous laisse le découvrir... ce monde réinventé.
De la poésie.
L’entrée en matière se fait par une liste des personnages présents, dans leur ordre d'arrivée. Je suis un peu déroutée par cette façon de procéder, qui dans les livres historiques, permet de situer les intervenants mais qui dévoile un peu trop de l'histoire, à mon gout dans les autres livres. J'y ai jeté un oeil avant de réaliser cette chronique, Pauline Alphen ne donne pas trop de détails, évoque juste les noms et les lieux de rencontre...
En suivant, l'auteur nous a composé un magnifique poème, sur le lecteur lui-même. De la poésie, on en retrouve tout au long des pages, au travers des mots des Nomades, mais aussi en citation des carnets de Sierra, mère des deux héros. Évoquer son nom, c'est déjà entrer dans l'histoire. Sierra est la mère disparue le jour de leurs trois ans... Et son absence est une grande partie de l'intrigue. Tout tourne autour de ce personnage. Les caractères des enfants, celui du père ainsi que la raison de cette disparition. Les évènements relatés dix ans plus tard ramènent tous à ce jour funeste. Et si...
Car si Jad est celui qui détient les "pouvoirs" (chut) du livre, Claris est celle qui lit, avance, fonce. Un sacré caractère ! c'est assez drôle parfois, un peu lassant par moment. L'auteur a su montrer que Claris ne voulait rien savoir de sa mère, nier jusqu'à son existence. Cela donne des scènes fortes en émotion, mais un peu lassante par leur redondance. De plus le livre étant destiné à un public assez jeune, les choses sont explicité longuement. Un petit bémol, pour ma part.
Comme je l'ai dit plus haut, tout revient sans cesse à Sierra ! Et si elle n'avait pas disparu finalement ? Blaise, précepteur aux cheveux depuis fort longtemps grisés par l'âge, va parcourir un long voyage initiatique en quête de réponses. Il entraînera dans sa suite, Ugh, le fils de la cuisinière du château et nounou de Claris et Jad. Pauline Alphen a effectivement décidé de conter l'histoire de plusieurs membres de cette famille. Jad, Claris se voient décerner la primeur, une majorité des chapitres les concernant. ugh tient un rôle secondaire très convaincant, avec quelques passages glorieux. Blaise et ses deux acolytes (Athéna et le Gris) sont mis en avant dès que l'histoire se tourne vers les mystères du passé, vers les tentatives de compréhension...
Toutefois, ce livre se veut aussi l'évocation des livres. A de nombreuses reprises, l'auteur nous renvoie vers d'autres lectures, toujours dans l'univers fantasy : Harry Potter, Ewilan, ... et une ode au magnifique Seigneur des anneaux. Pauline Alphen les cites, comme des lectures faites par Claris, la jeune héroïne...
Je terminerai cette présentation par l'évocation du temps. J'ai volontairement tu ce point jusqu'à présent, car il est un des sujets fort du livre et pour moi la plus grande réussite de cette création. Du coup, je vous laisse le découvrir... ce monde réinventé.