Je ne connaissais pas du tout l’auteur et c’est donc une totale découverte.
Tout commence par la disparition d’une enfant, dans un train. Tout de suite, les enquêteurs s’orientent vers la piste du conflit familial. En effet, le père de l’enfant est injoignable et la mère est terrorisée par son ex mari.
Ce n’est que, lorsque l’enfant est retrouvée morte, que l’enquête va prendre une nouvelle orientation.
Ce qui m’a plu dans ce polar, c’est que les policiers en charge de cette enquête sont humains avec leurs doutes mais également leurs soucis privés qui viennent
se greffer sur l’enquête.
Frederika m’a beaucoup touché : c’est une femme qui s’est entourée d’une carapace pour éviter de souffrir, alors on lui reproche une certaine froideur, un certain détachement mais en fait elle ne montre pas ses sentiments mais cela ne l’empêche pas de travailler comme une forcenée pour retrouver l’assassin.
L’enquête multiplie les pistes, j’ai cru avoir deviné qui était l’assassin mais je me suis faite avoir comme une bleue.
En parlant de lui, il a vraiment un pète au casque. Sa folie meurtrière va balayer des êtres innocents. Comment peut-on être aussi aveuglé par la haine ?
Ce roman a été récompensé, en 2010, par le prix du polar suédois, ce qui pour un premier roman est un encouragement.
J’aimerais beaucoup retrouver l’équipe d’enquêteurs même s’il y en a un que j’ai envie de baffer mais j’aimerais savoir comment ils vont continuer d’évoluer.
Intriguant
Je ne connaissais pas du tout l’auteur et c’est donc une totale découverte.
Tout commence par la disparition d’une enfant, dans un train. Tout de suite, les enquêteurs s’orientent vers la piste du conflit familial. En effet, le père de l’enfant est injoignable et la mère est terrorisée par son ex mari.
Ce n’est que, lorsque l’enfant est retrouvée morte, que l’enquête va prendre une nouvelle orientation.
Ce qui m’a plu dans ce polar, c’est que les policiers en charge de cette enquête sont humains avec leurs doutes mais également leurs soucis privés qui viennent se greffer sur l’enquête.
Frederika m’a beaucoup touché : c’est une femme qui s’est entourée d’une carapace pour éviter de souffrir, alors on lui reproche une certaine froideur, un certain détachement mais en fait elle ne montre pas ses sentiments mais cela ne l’empêche pas de travailler comme une forcenée pour retrouver l’assassin.
L’enquête multiplie les pistes, j’ai cru avoir deviné qui était l’assassin mais je me suis faite avoir comme une bleue.
En parlant de lui, il a vraiment un pète au casque. Sa folie meurtrière va balayer des êtres innocents. Comment peut-on être aussi aveuglé par la haine ?
Ce roman a été récompensé, en 2010, par le prix du polar suédois, ce qui pour un premier roman est un encouragement.
J’aimerais beaucoup retrouver l’équipe d’enquêteurs même s’il y en a un que j’ai envie de baffer mais j’aimerais savoir comment ils vont continuer d’évoluer.