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De Frédéric Ier à Frédéric III, découvrez ces fous à la tête d'un des plus grands empires d'Europe. Les empereurs de Prusse étaient-ils tous fous ou n'étaient-ils pas plutôt vaniteux et égocentriques ? D'un naturel apathique et d'intelligence paresseuse, Frédéric-Guillaume III (1770-1840) de Prusse était décrit par Napoléon comme "le plus grand sot qu'il n'ait jamais connu". Frédéric-Guillaume IV (1795-1861), quant à lui, était dépeint comme "un quart soldat, un quart bigot, un quart artiste et un quart...
tout ce qu'on voudra !". C'est à cette dynastie, allant du Grand Electeur, Frédéric-Guillaume de Nuremberg, à Frédéric III, l'empereur martyr, que s'intéresse Augustin Cabanès, spécialiste en médecine et en Histoire. Les décisions prises sous leurs règnes, aussi brusques et fantasques soient-elles, étaient-elles dues à leur esprit malade ou simplement à leur humeur changeante ? Les chroniqueurs de l'époque les ont décrits comme méfiants, manquants de perspicacité et sujets à des emportements imprévus, qu'en était-il vraiment de ces empereurs qui dirigèrent un des plus grands territoires d'Europe.