Aux origines du carcan européen (1900-1960). La France sous influence allemande et amérciane
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- Nombre de pages197
- PrésentationBroché
- Poids0.206 kg
- Dimensions14,0 cm × 19,0 cm × 1,2 cm
- ISBN978-2-915854-63-3
- EAN9782915854633
- Date de parution01/04/2014
- ÉditeurDelga
Résumé
L'Union européenne a été présentée aux Français sous le jour engageant du "Plan Marshall", ennemi de la misère et de la servitude des peuples européens. Son objectif aurait cadré avec le projet pacifique des "pères de l'Europe", Jean Monnet, Robert Schuman, Konrad Adenauer, etc, appliqués à proscrire définitivement les guerres qui avaient endeuillé et affaibli le Vieux Continent de 1914 à 1918 puis de 1939 à 1945.
La paix serait garantie par la protection américaine, gage d'une liberté refusée aux peuples "de l'Est" soviétisés. Cette union fondée sur la "libre concurrence" entre égaux, en lieu et place des puissants cartels, se débarrasserait du Comité des Forges des sidérurgistes et marchands de canons enrichis par les guerres mondiales : mettant fin aux crises et aux guerres, elle vaudrait à tous la prospérité et "le pain blanc", bref, l'Eldorado.
Seule la récente crise, née d'une "épidémie" financière, aurait fait "dériver" ce noble projet, au risque de compromettre ses objectifs initiaux. "Dérive" récente d'une "Europe sociale" ou "alibi européen" indispensable, à l'ère impérialiste, à la maximisation du profit monopoliste et à la guerre aux salaires ? Le présent ouvrage décrit, sources à l'appui, la stratégie, depuis le début du XXe siècle, d'effacement du grand capital français devant ses deux grands alliés-rivaux hégémoniques, l'Allemagne et les Etats-Unis, si précieux boucliers sociopolitiques.
La paix serait garantie par la protection américaine, gage d'une liberté refusée aux peuples "de l'Est" soviétisés. Cette union fondée sur la "libre concurrence" entre égaux, en lieu et place des puissants cartels, se débarrasserait du Comité des Forges des sidérurgistes et marchands de canons enrichis par les guerres mondiales : mettant fin aux crises et aux guerres, elle vaudrait à tous la prospérité et "le pain blanc", bref, l'Eldorado.
Seule la récente crise, née d'une "épidémie" financière, aurait fait "dériver" ce noble projet, au risque de compromettre ses objectifs initiaux. "Dérive" récente d'une "Europe sociale" ou "alibi européen" indispensable, à l'ère impérialiste, à la maximisation du profit monopoliste et à la guerre aux salaires ? Le présent ouvrage décrit, sources à l'appui, la stratégie, depuis le début du XXe siècle, d'effacement du grand capital français devant ses deux grands alliés-rivaux hégémoniques, l'Allemagne et les Etats-Unis, si précieux boucliers sociopolitiques.
L'Union européenne a été présentée aux Français sous le jour engageant du "Plan Marshall", ennemi de la misère et de la servitude des peuples européens. Son objectif aurait cadré avec le projet pacifique des "pères de l'Europe", Jean Monnet, Robert Schuman, Konrad Adenauer, etc, appliqués à proscrire définitivement les guerres qui avaient endeuillé et affaibli le Vieux Continent de 1914 à 1918 puis de 1939 à 1945.
La paix serait garantie par la protection américaine, gage d'une liberté refusée aux peuples "de l'Est" soviétisés. Cette union fondée sur la "libre concurrence" entre égaux, en lieu et place des puissants cartels, se débarrasserait du Comité des Forges des sidérurgistes et marchands de canons enrichis par les guerres mondiales : mettant fin aux crises et aux guerres, elle vaudrait à tous la prospérité et "le pain blanc", bref, l'Eldorado.
Seule la récente crise, née d'une "épidémie" financière, aurait fait "dériver" ce noble projet, au risque de compromettre ses objectifs initiaux. "Dérive" récente d'une "Europe sociale" ou "alibi européen" indispensable, à l'ère impérialiste, à la maximisation du profit monopoliste et à la guerre aux salaires ? Le présent ouvrage décrit, sources à l'appui, la stratégie, depuis le début du XXe siècle, d'effacement du grand capital français devant ses deux grands alliés-rivaux hégémoniques, l'Allemagne et les Etats-Unis, si précieux boucliers sociopolitiques.
La paix serait garantie par la protection américaine, gage d'une liberté refusée aux peuples "de l'Est" soviétisés. Cette union fondée sur la "libre concurrence" entre égaux, en lieu et place des puissants cartels, se débarrasserait du Comité des Forges des sidérurgistes et marchands de canons enrichis par les guerres mondiales : mettant fin aux crises et aux guerres, elle vaudrait à tous la prospérité et "le pain blanc", bref, l'Eldorado.
Seule la récente crise, née d'une "épidémie" financière, aurait fait "dériver" ce noble projet, au risque de compromettre ses objectifs initiaux. "Dérive" récente d'une "Europe sociale" ou "alibi européen" indispensable, à l'ère impérialiste, à la maximisation du profit monopoliste et à la guerre aux salaires ? Le présent ouvrage décrit, sources à l'appui, la stratégie, depuis le début du XXe siècle, d'effacement du grand capital français devant ses deux grands alliés-rivaux hégémoniques, l'Allemagne et les Etats-Unis, si précieux boucliers sociopolitiques.