Un sujet qui fait polémique. La justice, qui fait face à de semblables crimes, a d'abord cru que les motivations des auteurs étaient l'euthanasie ou l'aide à mourir pour un patient en fin de vie, des actes dictés par la compassion. Au fil des faits répertoriés, il a fallu admettre que d'autres mobiles pouvaient intervenir dans ces actes. L'auteur a donc catégorisé les crimes selon la motivation des tueurs.
Elle traite d'une part les meurtres commis pour le plaisir, d'autres faits par des personnes qui se croient investis d'une mission, pour l'argent, pour se valoriser, ou encore par vengeance ou par dépit. Cela a permis de constater que les membres du personnel médical qui commettent de tels crimes tuent en majorité pour le plaisir. Quelle est donc leur motivation ? Le nombre de criminels de ce genre semble croitre.
L'auteur aborde donc sans détour ce sujet pour en faire un débat public.