Que dire de ce mon premier Leila Meacham dévoré en deux jours… Ma passion pour les romans sur la Seconde Guerre mondiale mettant à l’honneur les femmes est toujours aussi forte quand je lis un roman des Editions Charleston (ma maison d’édition favorite). Ce roman est intense, bouleversant, addictif, poignant. La lectrice que je suis s’est retrouvée telle une équilibriste sur un fil prêt à se rompre aux moindres révélations mettant en danger la vie des membres de Dragonfly. On ressent chaque émotion des personnages, l’auteur nous plonge dans une totale immersion d’un Paris
sous l’Occupation, d’un Paris à feu et à sang, d’un Paris où tout individu peut être un espion ennemi ou pire. Leila Meacham met en lumière le rôle d’agents/d’espions américains prêts à risquer leurs vies pour mettre fin au nazisme.
Septembre 1962, Cambridge, Maryland.
Alistair Reynolds n’en croit pas ses yeux, John Peterson, l’auteur d’un livre sur les opérations clandestines en France sous l’Occupation décrit l’histoire des cinq agents qu’Alistair a envoyé en France et dont quatre seulement sont revenus. Vingt ans après, trois semaines avant leurs retrouvailles à New York, le doute s’installe. Et si l’agent soi-disant mort était vivant ?
Comment ce John Peterson a-t-il pu connaître le contenu de l’Opération Libellule ?
En mai 1942, Alistair a sélectionné cinq jeunes Américains, à priori sans points communs pour mener à bien une dangereuse et périlleuse mission d’espionnage en France. Trois garçons et deux filles qui ont chacun leurs propres raisons de haïr les nazis partent sous couverture dans un Paris occupé au plus près de l’ennemi.
En 1962, les retrouvailles ont lieu. Des personnes qui ne savaient rien des véritables identités de leurs compagnons pendant et après la guerre vont enfin pouvoir mettre au clair ce qui s’est réellement passé lors de cet hiver 1944, cet instant fatal où leurs vies a basculé.
Leila Meacham raconte avec forces détails la fameuse mission dont quelqu’un cherche à remuer les secrets du passé enfoui depuis de nombreuses années. Elle aborde les dénonciations, les arrestations, les interrogatoires, les viols, les camps de Drancy et de Dachau, un amour impossible, la révélation de secrets de famille mais aussi le patriotisme, le courage, la Résistance… Une belle mise en avant des services de renseignements américains.
La plume de l’auteur est addictive et nous tient en haleine. Chaque chapitre donne sa part aux personnages sans que le lecteur se mélange les pinceaux. On suit donc la vie de nos cinq agents au fil des pages, ce qui permet ce suspense et cette tension insoutenable.
Un roman d’espionnage des plus convaincants et passionnants !
Que dire de ce mon premier Leila Meacham dévoré en deux jours… Ma passion pour les romans sur la Seconde Guerre mondiale mettant à l’honneur les femmes est toujours aussi forte quand je lis un roman des Editions Charleston (ma maison d’édition favorite). Ce roman est intense, bouleversant, addictif, poignant. La lectrice que je suis s’est retrouvée telle une équilibriste sur un fil prêt à se rompre aux moindres révélations mettant en danger la vie des membres de Dragonfly. On ressent chaque émotion des personnages, l’auteur nous plonge dans une totale immersion d’un Paris sous l’Occupation, d’un Paris à feu et à sang, d’un Paris où tout individu peut être un espion ennemi ou pire. Leila Meacham met en lumière le rôle d’agents/d’espions américains prêts à risquer leurs vies pour mettre fin au nazisme.
Septembre 1962, Cambridge, Maryland.
Alistair Reynolds n’en croit pas ses yeux, John Peterson, l’auteur d’un livre sur les opérations clandestines en France sous l’Occupation décrit l’histoire des cinq agents qu’Alistair a envoyé en France et dont quatre seulement sont revenus. Vingt ans après, trois semaines avant leurs retrouvailles à New York, le doute s’installe. Et si l’agent soi-disant mort était vivant ?
Comment ce John Peterson a-t-il pu connaître le contenu de l’Opération Libellule ?
En mai 1942, Alistair a sélectionné cinq jeunes Américains, à priori sans points communs pour mener à bien une dangereuse et périlleuse mission d’espionnage en France. Trois garçons et deux filles qui ont chacun leurs propres raisons de haïr les nazis partent sous couverture dans un Paris occupé au plus près de l’ennemi.
En 1962, les retrouvailles ont lieu. Des personnes qui ne savaient rien des véritables identités de leurs compagnons pendant et après la guerre vont enfin pouvoir mettre au clair ce qui s’est réellement passé lors de cet hiver 1944, cet instant fatal où leurs vies a basculé.
Leila Meacham raconte avec forces détails la fameuse mission dont quelqu’un cherche à remuer les secrets du passé enfoui depuis de nombreuses années. Elle aborde les dénonciations, les arrestations, les interrogatoires, les viols, les camps de Drancy et de Dachau, un amour impossible, la révélation de secrets de famille mais aussi le patriotisme, le courage, la Résistance… Une belle mise en avant des services de renseignements américains.
La plume de l’auteur est addictive et nous tient en haleine. Chaque chapitre donne sa part aux personnages sans que le lecteur se mélange les pinceaux. On suit donc la vie de nos cinq agents au fil des pages, ce qui permet ce suspense et cette tension insoutenable.