Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
" Au début des années 60, la grande idée de Christian Metz fut d'aborder, avec les armes de la linguistique, l'objet-cinéma et d'offrir à la discipline...
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Livré chez vous entre le 25 septembre et le 28 septembre
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Résumé
" Au début des années 60, la grande idée de Christian Metz fut d'aborder, avec les armes de la linguistique, l'objet-cinéma et d'offrir à la discipline ainsi fondée la reconnaissable rigueur d'une science. Celle-ci a des adeptes, maintenant, un peu partout dans le monde et les travaux de Metz sont traduits en une quinzaine de langues étrangères. Au-delà de la critique de films à laquelle nous étions accoutumés, la sémiologie du cinéma apportait à la réflexion, sur un art où elle avait été négligée, une véritable dimension théorique.
L'abord de cet objet-cinéma sous l'angle de la psychanalyse vient s'inscrire, pour Metz, sur le même axe de recherche et se situe au même niveau de généralité. Il ne s'agit pas en effet, dans son dessein, de psychanalyser les auteurs ou leurs créatures, mais d'éclairer le cinéma en tant qu'institution et art spécifique, en tant que " signifiant " fonctionnant dans la région de " l'imaginaire ", avec ce que cela suppose de rites de fréquentation comme de procédés technologiques. Le Signifiant imaginaire, c'est le pseudonyme double du cinéma ressaisi dans une perspective freudienne. "
Lucien Malson Le Monde (1978)