Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
La victoire-éclair de Hitler sur les Alliés n'avait pas été planifiée comme " guerre-éclair ". Le commandement allemand comptait sur une réédition...
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La victoire-éclair de Hitler sur les Alliés n'avait pas été planifiée comme " guerre-éclair ". Le commandement allemand comptait sur une réédition de la Première Guerre mondiale, avec des combats étalés sur des années ; cette conviction avait présidé à la planification de son économie et à ses plans de guerre. Ce n'est qu'après que le corps blindé Guderian eut effectué sa surprenante percée à Sedan que l'offensive allemande acquit une dynamique propre insoupçonnée et conduisit au " coup de faucille " et à l'avance rapide des chars jusqu'aux portes de Dunkerque, où Hitler arrêta leur progression pendant quelques jours, ce qui permit l'évacuation du corps expéditionnaire anglais. S'élevant contre la théorie courante d'une " stratégie de la guerre-éclair " conçue par Hitler, l'auteur démontre ce qui a réellement fondé le secret de la réussite de la " guerre-éclair " de l'offensive de 1940, et démontre également que lorsqu'Hitler voulut réitérer une opération (dont il s'était attribué le mérite a posteriori), mais cette fois contre l'URSS, ce fut l'échec.
Sommaire
La " guerre-éclair ", mot et concept
Une " guerre-éclair " sans concept de " guerre-éclair " : L'histoire d'avant la campagne de l'Ouest
La revendication du " coup de faucille "
L'offensive des Ardennes de 1940
La bataille décisive : la percée du corps blindé Guderian à Sedan
L'effondrement du front de la Meuse
La progression vers la Manche et le problème du " flanc ouvert "