Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
La Marchandise est 1e premier chapitre du Capital, dans la traduction française de Joseph Roy "entièrement révisée" par Marx lui-même. Ce chapitre...
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La Marchandise est 1e premier chapitre du Capital, dans la traduction française de Joseph Roy "entièrement révisée" par Marx lui-même. Ce chapitre parut en France en 1872, au prix de dix centimes. Ainsi publié sous forme de petits fascicules, en livraisons périodiques, Le Capital, ouvre immense mais chère, "sera plus accessible à la classe ouvrière, et pour moi, déclare Marx à son éditeur français, cette considération l'emporte sur toute autre". Ainsi, en publiant à part ce premier chapitre du Capital, "Les Philosophiques" entendent prendre le vœu de Marx au sérieux et rendre accessible une ouvre fondamentale dont la taille risquerait de condamner le plus grand nombre à n'en rien lire du tout. Il se trouve en outre que La Marchandise n'est pas un simple chapitre parmi d'autres, mais contient l'une des trouvailles les plus importantes de tout Le Capital, de l'avis même de Marx. Et aujourd'hui encore, pouvons-nous nier l'importance de ce concept de marchandise, nous qui baignons dans un monde de marchandises et qui affirmons que l'école, la santé, le monde ne sont pas des marchandises ? Mais savons-nous au juste ce que c'est qu'une marchandise ? Pour ne pas se contenter de juger et de condamner le présent, La Marchandise nous offre les moyens conceptuels de le comprendre.