Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Les pages que nous allons lire témoignent de ce qui fut le souci majeur de Jean Clavreul: redonner au mouvement psychanalytique sa première fraîcheur....
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Livré chez vous entre le 9 octobre et le 23 octobre
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Résumé
Les pages que nous allons lire témoignent de ce qui fut le souci majeur de Jean Clavreul: redonner au mouvement psychanalytique sa première fraîcheur. Non pas en supprimant toute institutionnalisation, mais en dénonçant ce que l'institutionnalisation de la psychanalyse, telle qu'elle eut lieu en 1925-1926, a comporté d'assimilation irréfléchie, voire aberrante, entre la façon dont on devient analyste {... } et les modes de formation selon lesquels chacun prend sa place dans l'ordre social. {...} Mais rien ne permet mieux de mesurer la distance qui sépare la dite formation de l'analyste de toute formation sociale, scolaire ou universitaire, que les réflexions de Jean Clavreul au sujet du contrôle. Aussi n'y a-t-il rien d'étonnant à le voir consacrer à la question de la place tant d'une société psychanalytique que de l'analyste dans la société tout court, des pages qui à mon avis n'ont pas reçu jusqu'à présent toute l'attention qu'elles méritent.