Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Le budget de la France, ainsi expliqué, équivaut aux finances d'un particulier qui gagne 2 214 euros par mois, en dépense 2 660 et cumule 160...
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Le budget de la France, ainsi expliqué, équivaut aux finances d'un particulier qui gagne 2 214 euros par mois, en dépense 2 660 et cumule 160 560 euros de dettes. Beaucoup plus parlants que les sommes astronomiques largement médiatisées (1 100 milliards d'euros de dettes publiques selon le Rapport Pébereau, 2 000 milliards selon le ministre des Finances), ces chiffres deviennent, de cette façon, parfaitement compréhensibles. Ramenant la gestion de l'Etat à l'échelle d'un foyer, ce livre permet à chacun de se faire une idée précise de la situation financière réelle de la France. Les auteurs montrent que la " maison France " vit au-dessus de ses moyens, abuse du crédit et planque ses déficits. Ils la comparent aussi aux maisons voisines du village mondial. Constat: la " maison France " perd de sa superbe. Elle est maintenant classée au vingtième rang des nations développées ! Cependant rien n'est encore perdu : la France dispose toujours d'atouts et de trésors cachés. Bien que lézardée, la " maison France " peut encore être restaurée. Cet essai étonnant le prouve, chiffres explicites à l'appui !
Sommaire
La maison France se lézarde
Les habitants de la maison France lézardent
Comparons la maison France à d'autres maisons du village mondial
La maison France peut encore payer des travaux de rénovation
Antoine Michon est banquier et Nicolas Delecourt est journaliste. L'un et l'autre attachent beaucoup d'importance à une " vulgarisation intelligente " de l'Economie.