Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
" Ma pièce est déjà prête dans ma tête. Elle s'appelle La Cerisaie, il y a quatre actes, dans le premier on voit par les fenêtres des cerisiers...
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" Ma pièce est déjà prête dans ma tête. Elle s'appelle La Cerisaie, il y a quatre actes, dans le premier on voit par les fenêtres des cerisiers en fleurs, tout un jardin blanc ininterrompu. Et les dames sont vêtues de blanc. " (Lettre de Tchekhov, 5 février 1903).
Ce domaine enchanté est menacé de disparition, c'est là l'événement qui pèse sur tous les personnages.
Cette grande pièce, la dernière de Tchekhov, est la peinture d'une classe qui meurt pour être restée étrangère au monde de l'argent.
La Cerisaie a toujours séduit les metteurs en scène par sa richesse, son extraordinaire climat de poésie, la subtilité de ses personnages.
La Cerisaie est présentée ici dans la traduction de Jean-Claude Carrière, mise en scène par Peter Brook au Théâtre des Bouffes du Nord en 1981.
"La cerisaie" est un des sommets du théâtre mondial. Voir cette pièce mise en scène par Giorgio Strehler est une expérience inoubliable. Tchekhov est aussi grand que Shakespeare, que Proust dans ses pièces et dans nombre de ses nouvelles.
Au sommet
"La cerisaie" est un des sommets du théâtre mondial. Voir cette pièce mise en scène par Giorgio Strehler est une expérience inoubliable. Tchekhov est aussi grand que Shakespeare, que Proust dans ses pièces et dans nombre de ses nouvelles.