Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Au-delà des faillites bancaires, la crise financière de l'année 2008 aura surtout révélé un grave déficit éthique. Sans être mauvais en soi,...
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Au-delà des faillites bancaires, la crise financière de l'année 2008 aura surtout révélé un grave déficit éthique. Sans être mauvais en soi, le profit, finalité des affaires, peut aisément devenir blâmable quand il obéit à une volonté effrénée, génératrice d'injustices pouvant aller jusqu'à l'instrumentalisation du droit lui-même qui serait ainsi perverti en adjuvant de blanchiment de conscience... C'est pourquoi, face aux comportements répréhensibles et toujours dommageables, sont apparus, ces derniers temps, des comportements vertueux sous l'effet de "chartes éthiques" dont le droit international et des législations nationales se font de plus en plus l'écho. Le juriste d'affaires se trouve ainsi au confluent de cette problématique visant à harmoniser l'efficacité et la rentabilité avec la moralité. Il convient d'intégrer au cœur du droit des affaires le double souci de conformité aux lois positives et à la vertu de justice, selon l'ordre objectif du droit, sans laquelle serait compromise la sauvegarde du bien commun. La moralisation de la vie des affaires ne peut se passer du droit car c'est en référence à l'éthique que doivent être régulés l'esprit et la technique du droit des affaires.