Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
J'ai grand-peur qu'Allen Ginsberg ait jusqu'à présent été plus connu en France pour s'être fait photographier tout nu par Richard Avedon, s'être...
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Livré chez vous entre le 25 septembre et le 28 septembre
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Résumé
J'ai grand-peur qu'Allen Ginsberg ait jusqu'à présent été plus connu en France pour s'être fait photographier tout nu par Richard Avedon, s'être fait expulser de Budapest, avoir écrit un poème que les militants de la " Ligue pour la liberté sexuelle " distribuaient dans les rues de San Francisco et marché pacifiquement sur le Pentagone à la tête de bataillons hippies que par ses poèmes. Pourtant, Alain Bosquet avait traduit America (dans Trente-cinq jeunes poètes américains) et Jean-Jacques Lebel, dans la Poésie de la Beat génération, l'extraordinaire Howl et une dizaine de poèmes plus courts. Ginsberg restait cependant plus célèbre par ses bizarres conduites que pour sa grande voix. C'est celle-ci qui surgit simultanément, avec une incroyable et superbe violence, dans le poème contre la guerre du Viêt-nam Soutrâ à Wichita, et dans le recueil où son ami Claude Pélieu a traduit Kaddish et les textes de Reality Sandwiches. On va peut-être finir par s'apercevoir à Paris que Ginsberg n'est pas seulement un personnage bien " pittoresque " mais aussi, mais d'abord, un grand poète.