Biographie de Richard Bach
Gérard Franquin : l'illustrateur, depuis sa naissance en 1951, a pratiquement toujours à la main soit un crayon, soit un pinceau... Il a mis en images de nombreux textes de l'Atelier du Père Castor où il a longtemps travaillé en tant que maquettiste, avant de partir habiter dans le Sud de la France. Lorsqu'il a découvert Jonathan Livingston le Goéland, il a été passionné par le thème et espérait un jour l'illustrer...
Pierre Clostermann : le traducteur était lui aussi un ancien pilote. Ingénieur et homme politique, il a également écrit plusieurs ouvrages, dont certains sur l'aviation. C'est tout naturellement sa passion pour le vol qui l'a conduit à traduire Jonathan Livingston le Goéland. Dans sa préface à la première éditions française, Pierre Clostermann présentait l'ouvrage par ses mots : "Jonathan le Goéland est universel, quelles que soient la philosophie, la race ou la religion du lecteur [...] le thème dépasse un cadre national d'expression et de pensée...
C'est pourquoi un tel livre est si rare". Pierre Clostermann est décédé en 2006. L'auteur est un descendant du compositeur de musique Jean-Sébastien Bach. Ancien pilote de l'Armée de l'air américaine, il collectionne les vieux avions encore en état de marche. Il partage son temps entre le pilotage, pour le plaisir, et la rédaction d'articles pour des revues spécialisées ou des récits pour des magazines d'aviation et d'information générale.
Jonathan Livingston le Goéland, édité pour la première fois aux Etats-Unis en 1970, a rendu célèbre son auteur dans son pays et à l'étranger. Richard Bach explique le message qu'il a voulu transmettre : "Brisez vos limites, faites sauter les barrières de vos contraintes, mobilisez votre volonté, exigez la liberté comme un droit, soyez ce que vous voulez être. Découvrez ce que vous aimeriez faire et faites tout votre possible pour y parvenir."
Jonathan, jeune goéland audacieux et passionné est banni de son clan qui ne comprend pas son désir ardent d'être différent : voler pour son plaisir toujours plus haut, toujours plus vite.
Cette parabole universelle est l'apologie de la liberté absolue d'être soi, de se réaliser, de dépasser ses limites, d'aller au bout de ses rêves, bref de faire partie de ces héros du quotidien qui font avancer le monde..