Jeux Olympiques - 2 volumes : L'Orgue du stade suivi de Huit cents mètres ; Londres 48, chroniques des jeux

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André Obey - Jeux Olympiques - 2 volumes : L'Orgue du stade suivi de Huit cents mètres ; Londres 48, chroniques des jeux.
ANDRE OBEY, immense écrivain et athlète accompli, a écrit des pages inoubliables sur les jeux olympiques et sport, passion de toute sa vie, avec la... Lire la suite
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Résumé

ANDRE OBEY, immense écrivain et athlète accompli, a écrit des pages inoubliables sur les jeux olympiques et sport, passion de toute sa vie, avec la musique. A l’occasion du retour des Jeux olympiques à Londres, retrouvez dans un luxueux coffret l’intégrale en deux volumes de ses écrits sur le sport. JEUX OLYMPIQUES, PARIS 1924, LONDRES 1948 Vol.1- L'Orgue du stade, et Huit cents mètres (210 p.) Vol.2- Londres 48, chronique des jeux (123 p / photos), + 4 textes qui font revivre les haut lieux du sport français de l'époque: Wagram, Veld'Hiv, Montlhéry, Colombes....
Dramaturge, journaliste, romancier, André Obey vibre pour le sport et court le400 m. En 1924, il assiste aux J.O de Paris, qui lui inspirent L'Orgue du stade, hymne éblouissant à l'athlétisme. En 1948, il est l’envoyé spécial de L'EQUIPE aux J.O de Londres. Le quotidien voulait dépasser le point de vue purement événementiel et lui ajouter l'ambition littéraire, pour inviter le lecteur à un regard décalé et à une réflexion véritable sur le sens du sport.
Dans ses Chroniques des jeux, l'auteur, athlète averti, restitue l'intensité dramatique des affrontements où la force, le courage, l'intelligence tactique et aussi la chance, sont poussés à leurs plus extrêmes limites. Tableaux impressionnistes d'une époque où le sport, abusivement paré de toutes les vertus, n'avait pas encore subi l'influence des profondes mutations de la fin du siècle. En 1950, à la demande d'André Gardien et de Gilbert Omnès il signe pour la revue INS, un éditorial d'une étonnante modernité qui figure en post-scriptum des "Chroniques".
L’œuvre d’André Obey est inscrite depuis 2011 au patrimoine littéraire national.

Caractéristiques

  • Date de parution
    01/06/2012
  • Editeur
  • ISBN
    978-2-917304-36-5
  • EAN
    9782917304365
  • Présentation
    Coffret
  • Nb. de pages
    335 pages
  • Poids
    0.445 Kg
  • Dimensions
    12,0 cm × 20,0 cm × 3,0 cm

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À propos de l'auteur

Biographie d'André Obey

André Obey est né à Douai en 1892. Après une enfance passée entre le collège et l’école de musique, il passe ses licence de Droit et de Lettres à Lille. Engagé pendant la guerre de 14, il s’installe à Paris après la victoire où il gagne sa vie en faisant de la critique musicale et des chroniques sportives. Parallèlement, il écrit des nouvelles, des essais et des romans. Il se fait remarqué en 1924 en écrivant  La très souriante Madame Beudet avec Denys Amiel.
Une pièce qui fut inscrite plus tard au répertoire de la Comédie Française en 1935 (et diffusée sur la radio nationale après la guerre). Il obtient en 1928 le prix Renaudot pour un de ses romans : Le joueur de triangle. C’est Jacques Copeau qui lui fait découvrir le théâtre. Il devient rapidement l’écrivain de la Compagnie des Quinze et inaugure le théâtre du Vieux Colombier avec Noé (1931), puis Le viol de Lucrèce, La Bataille de la Marne et puis Loire.
Sa notoriété aidant, ses pièces sont jouées aussi bien en France qu’à l’étranger (Angleterre, Etats-Unis, Allemagne…). Britten demandera à Ronald Ducan d’adapter Le viol de Lucrèce pour un Opéra de chambre (régulièrement monté chaque année – dernière représentation cette année, à Paris, au théâtre Athénée, en juin 2007). Viennent ensuite les deux premières versions de l’Homme de Cendres avec Dom Juan et Le trompeur de Séville.
Il adapte Richard III  pour Charles Dullin, et écrit des œuvres radiophoniques puis deux pièces que l’approche de la guerre de 39 lui inspire. La seconde, Revenu de l’Étoile, sera montée en Allemagne occupée par les Comédiens de Paris et Valentine Tessier. Elle connaîtra un succès retentissant qui lui vaudra d’être jouée pendant plusieurs années. Le théâtre d’André Obey s’attache surtout à des personnages légendaires dans plus pure tradition grecque et/ou élisabéthaine.
Le trompeur de Séville (1937), Don Juan ou l’Homme de cendres (1949), Lazare ont été montés à la Comédie Française et inscrits au répertoire, tout comme Une fille pour du vent… Président des auteurs, compositeurs résistants pendant l’Occupation, il succède à Pierre Dux comme administrateur de Comédie Française à la demande de René Capitant, alors ministre de la Culture, le 2 octobre 1945. La Libération le voit également travailler aux premières réformes du Conservatoire et au nouveau statut des comédiens en tant que Directeur du Théâtre et de la Musique.
En tant qu’administrateur de la Comédie Française, il enrichit le répertoire avec des pièces telles : A souffert sous Ponce Pilate de Paul Raynal, Asmodée de François Mauriac, La princesse d’Élide de Molière, Britannicus de Racine et la Maître de Santiago de Montherlant. Il adapte, entre autres, Richard III… Il adaptera plusieurs autres pièces dont Œdipe Roi pour Pierre Blanchard et Aristophane (La Paix).
En 1950, il crée Lazare pour Jean-Louis Barrault puis Une fille pour du vent, qui est montée à la Comédie Française en 1953 avec Julien Bertheau. De 1953 à 1957, il adapte L’Orestie pour Jean-Louis Barrault et deux pièces américaines : La chatte sur un toit brûlant de Tennessee Williams et Douze hommes en colère de Reginald Rose. C’est aussi un homme de radio pour laquelle il écrit plusieurs pièces (Le jour du retour, Revenu de l’Étoile…) Il participe à Lecture à une voix de Michel Polac.
On se souviendra, sur France Culture, de ses entretiens avec Henri Dutilleux : Entre cour et jardin. En 1972, il crée encore pour la Comédie Française Les retrouvailles sous le titre Le jour du retour, ainsi que trois pièces en un acte. Sa vie s’achève à Montsoreau, en 1975 sur les bords de son fleuve bien aimé, la Loire. Le 10 août 2001, par arrêté de l’administration française, l’œuvre d’André Obey entre au patrimoine littéraire national. 29/06/12 1

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