En cours de chargement...
«Je n'ai pas toujours été un vieil homme dépendant. Lorsque l'on nous voit pour la première fois, nous les ancêtres, les croulants, les débris, les soixante-dix-huit tours, on nous aborde ridés, arthritiques et séniles. Il devient impensable que le papy amarré à son lit d'hôpital ait pu un jour envoyer une saloperie de balle de golf avec un balancement souple du tronc.» Léon, armé de son humour, refuse de se laisser écraser par les outrages de la vieillesse.
Amateur de coups tordus, il est encore prêt à jouer un dernier tour à tous ceux qui croient qu'un vieux, ce n'est jamais qu'un... vieux. «Il y a des leçons de repartie à prendre dans ce premier roman gouailleur, dont les dialogues à la lucidité décapante remettraient sur pied un grabataire.» Elle
Je suis partagée...parfois drôle, parfois décevant
En fait je suis partagée : j'ai beaucoup apprécié les chapitres où Léon le héros se retrouve en maison de repos et fait la connaissance malgré lui de nombreux pensionnaires : c'est plutôt drôle et attachant. Léon est très critique, désagréable mais on sent un bon fond tout de même.
J'ai par contre moins accroché les chapitres où Léon se remémorent sa vie et sa jeunesse : le ton n'est pas le même.
C'est dommage....