Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Ayant des vues brillantes sur tout et le reste, au point que Goethe dut lui octroyer une " tête allemande ", il eût été étrange que Diderot ne dît...
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Livré chez vous entre le 27 septembre et le 1 octobre
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Résumé
Ayant des vues brillantes sur tout et le reste, au point que Goethe dut lui octroyer une " tête allemande ", il eût été étrange que Diderot ne dît rien du théâtre. Il en résulta trois textes ici réunis. Les deux premiers, Entretiens sur Le Fils naturel (1757) et De la poésie dramatique (1758), exposent la théorie du drame bourgeois, qui entend révolutionner l'idée et la pratique du théâtre, en sortant enfin du " protocole " grec signé il y a deux mille ans. Quant au magnifique " pamphlet " du Paradoxe sur le comédien, peaufiné pendant une décennie à partir de 1769, on ne sait guère pourquoi Diderot le garda sous le coude. Ce " beau paradoxe ", qui a fait couler beaucoup d'encre, prétend que " c'est la sensibilité qui fait les comédiens médiocres ; l'extrême sensibilité, les comédiens bornés ; le sens froid et la tête, les comédiens sublimes " (lettre à Grimm, 14 novembre 1769). Ces trois écrits placent si incontestablement Diderot entre Aristote et Brecht qu'il n'en fut rien : en France, on préfère la bataille d'Hernani.