Dressage méthodique du cheval de selle

Par : François Faverot de Kerbrech
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  • Nombre de pages123
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.28 kg
  • Dimensions17,0 cm × 24,0 cm × 1,0 cm
  • ISBN978-2-38028-009-8
  • EAN9782380280098
  • Date de parution28/10/2019
  • CollectionLe pied à l'étrier
  • ÉditeurMazeto Square

Résumé

La recherche, la conservation de la légèreté, doit être la préoccupation constante du cavalier. On entend par ces mots "légèreté à la main", la qualité du cheval qui obéit aux aides sans peser à la main, sans que celle-ci éprouve la sensation d'un poids plus ou moins difficile à déplacer ou d'une force qui résiste à son action. La légèreté se reconnaît donc à l'absence de résistance aux effets du mors de bride ou de filet ; la simple demi-tension d'une ou de deux rênes doit provoquer la mobilité moelleuse de la mâchoire inférieure sans que la tête bouge, sans que l'ouverture de la bouche soit sensiblement apparente ; et la langue de l'animal doit faire alors sauter l'un des mors sur l'autre, ce qui produit par moments un bruit argentin ; ajoutons que cette mobilité moelleuse doit persister pendant un certain temps et non cesser brusquement.
Telles sont les conditions dont l'ensemble constitue la vraie légèreté. Elle est pour le cavalier l'indice révélateur et infaillible de l'équilibre parfait de son cheval tant qu'elle subsiste sans altération. François Faverot De Kerbrech
La recherche, la conservation de la légèreté, doit être la préoccupation constante du cavalier. On entend par ces mots "légèreté à la main", la qualité du cheval qui obéit aux aides sans peser à la main, sans que celle-ci éprouve la sensation d'un poids plus ou moins difficile à déplacer ou d'une force qui résiste à son action. La légèreté se reconnaît donc à l'absence de résistance aux effets du mors de bride ou de filet ; la simple demi-tension d'une ou de deux rênes doit provoquer la mobilité moelleuse de la mâchoire inférieure sans que la tête bouge, sans que l'ouverture de la bouche soit sensiblement apparente ; et la langue de l'animal doit faire alors sauter l'un des mors sur l'autre, ce qui produit par moments un bruit argentin ; ajoutons que cette mobilité moelleuse doit persister pendant un certain temps et non cesser brusquement.
Telles sont les conditions dont l'ensemble constitue la vraie légèreté. Elle est pour le cavalier l'indice révélateur et infaillible de l'équilibre parfait de son cheval tant qu'elle subsiste sans altération. François Faverot De Kerbrech