Main sans jambes.... Suivi de Dressage du cheval de selle
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- Nombre de pages203
- PrésentationBroché
- Poids0.325 kg
- Dimensions15,0 cm × 22,5 cm × 1,7 cm
- ISBN978-2-85893-077-7
- EAN9782858930777
- Date de parution01/01/2016
- CollectionBibliothèque équestre
- ÉditeurJean-Michel Place
Résumé
Officier de cavalerie, issu de l'école de Saumur, Etienne Beudant fit une grande partie de sa carrière dans des régiments de cavalerie en Afrique du nord. C'est à travers l'enseignement du général Faverot de Kerbrech que Beudant fut initié au bauchérisme dit de la deuxième manière. Fidèle à l'incroyable Maître dont il a possédé sans défaillance la méthode simple et logique, il réussira à obtenir de merveilleux résultats avec tous ses chevaux à l'extérieur comme en haute école.
Son Suvre témoigne de cette recherche de perfection idéale : la légèreté, si particulière à l'Ecole française. Dressage du cheval de selle (1929, troisième édition revue de 1948) se présente comme un mémento rédigé en vue d'une mise en pratique. Beudant y indique pas à pas et sans commentaire les moyens les plus faciles de tendre vers la perfection en équitation usuelle, puis en équitation savante et de fantaisie.
Dans Main sans jambes, Beudant analyse le dressage méthodique selon les derniers enseignements de Baucher, dans une forme simple et vivante, il ne s'agit pas ici de manuel ou de précis d'équitation ; j'expose familièrement ce que je crois juste. Identifiant la légèreté à la décontraction de la bouche il développe le principe de non-opposition des aides impulsives à la main. Beudant s'inscrit ainsi dans l'histoire de l'Ecole classique et tout particulièrement du bauchérisme qui fut pourtant si décrié par les maîtres de l'ancienne Ecole française.
Son Suvre témoigne de cette recherche de perfection idéale : la légèreté, si particulière à l'Ecole française. Dressage du cheval de selle (1929, troisième édition revue de 1948) se présente comme un mémento rédigé en vue d'une mise en pratique. Beudant y indique pas à pas et sans commentaire les moyens les plus faciles de tendre vers la perfection en équitation usuelle, puis en équitation savante et de fantaisie.
Dans Main sans jambes, Beudant analyse le dressage méthodique selon les derniers enseignements de Baucher, dans une forme simple et vivante, il ne s'agit pas ici de manuel ou de précis d'équitation ; j'expose familièrement ce que je crois juste. Identifiant la légèreté à la décontraction de la bouche il développe le principe de non-opposition des aides impulsives à la main. Beudant s'inscrit ainsi dans l'histoire de l'Ecole classique et tout particulièrement du bauchérisme qui fut pourtant si décrié par les maîtres de l'ancienne Ecole française.
Officier de cavalerie, issu de l'école de Saumur, Etienne Beudant fit une grande partie de sa carrière dans des régiments de cavalerie en Afrique du nord. C'est à travers l'enseignement du général Faverot de Kerbrech que Beudant fut initié au bauchérisme dit de la deuxième manière. Fidèle à l'incroyable Maître dont il a possédé sans défaillance la méthode simple et logique, il réussira à obtenir de merveilleux résultats avec tous ses chevaux à l'extérieur comme en haute école.
Son Suvre témoigne de cette recherche de perfection idéale : la légèreté, si particulière à l'Ecole française. Dressage du cheval de selle (1929, troisième édition revue de 1948) se présente comme un mémento rédigé en vue d'une mise en pratique. Beudant y indique pas à pas et sans commentaire les moyens les plus faciles de tendre vers la perfection en équitation usuelle, puis en équitation savante et de fantaisie.
Dans Main sans jambes, Beudant analyse le dressage méthodique selon les derniers enseignements de Baucher, dans une forme simple et vivante, il ne s'agit pas ici de manuel ou de précis d'équitation ; j'expose familièrement ce que je crois juste. Identifiant la légèreté à la décontraction de la bouche il développe le principe de non-opposition des aides impulsives à la main. Beudant s'inscrit ainsi dans l'histoire de l'Ecole classique et tout particulièrement du bauchérisme qui fut pourtant si décrié par les maîtres de l'ancienne Ecole française.
Son Suvre témoigne de cette recherche de perfection idéale : la légèreté, si particulière à l'Ecole française. Dressage du cheval de selle (1929, troisième édition revue de 1948) se présente comme un mémento rédigé en vue d'une mise en pratique. Beudant y indique pas à pas et sans commentaire les moyens les plus faciles de tendre vers la perfection en équitation usuelle, puis en équitation savante et de fantaisie.
Dans Main sans jambes, Beudant analyse le dressage méthodique selon les derniers enseignements de Baucher, dans une forme simple et vivante, il ne s'agit pas ici de manuel ou de précis d'équitation ; j'expose familièrement ce que je crois juste. Identifiant la légèreté à la décontraction de la bouche il développe le principe de non-opposition des aides impulsives à la main. Beudant s'inscrit ainsi dans l'histoire de l'Ecole classique et tout particulièrement du bauchérisme qui fut pourtant si décrié par les maîtres de l'ancienne Ecole française.