Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Pourquoi avoir choisi de regarder l'œuvre de Delacroix à la lumière des écrits de Charles Baudelaire et de Théophile Gautier ? Ces deux poètes,...
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Pourquoi avoir choisi de regarder l'œuvre de Delacroix à la lumière des écrits de Charles Baudelaire et de Théophile Gautier ? Ces deux poètes, considérés comme les meilleurs critiques d'art de leur temps, n'ont certes pas connu la même fortune : le premier, servi par un style brillant et véhément, s'est imposé comme le maître du genre tandis que le second, à la tête d'une œuvre féconde, est tombé progressivement dans l'oubli. Si pour la postérité le nom de Delacroix rime sous la plume de Baudelaire avec " premier des modernes ", il en est tout autre dans les textes. C'est en effet à Gautier, premier admirateur inconditionnel du chef de file de l'école romantique, qu'il convient de rendre toute l'intuition de cette célèbre expression.
Pour la première fois, voici réunis et mis en regard les propos esthétiques de Gautier et Baudelaire sur la peinture de Delacroix. Au-delà de la célébration de la grandeur d'un peintre, créateur génial, coloriste éblouissant, dont la carrière artistique occupe une place unique dans l'histoire de l'art européen, ces textes sont à lire pour redécouvrir comment les chroniques clairvoyantes de Gautier ont nourri les écrits inspirés de Baudelaire.