Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Chateaubriand traducteur : l'association de ces deux mots surprend. Pourtant, le fait traductif tient dans la vie de Chateaubriand un rôle essentiel...
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Résumé
Chateaubriand traducteur : l'association de ces deux mots surprend. Pourtant, le fait traductif tient dans la vie de Chateaubriand un rôle essentiel : des fragments traduits en exil à la grande traduction de Paradise Lost de Milton en 1836 se dévoile un chemin de quête de soi et quête de foi, aux retentissements profonds sur l'ouvre propre de l'écrivain. Le présent ouvrage s'attache à montrer l'importance de la traduction dans la carrière de Chateaubriand : il s'agit d'un élément qui participe pleinement de l'unité de son ouvre ; sa volonté de provoquer une " révolution dans la manière de traduire " révèle une position à la fois novatrice et pleine de contradictions dans cette époque charnière. C'est un Chateaubriand encore inconnu que découvre cette critique de traduction, un interprète dont la littéralité surprenante du Paradis perdu cache des libertés créatrices. En se faisant traducteur, l'Enchanteur choisit pour maîtres mots l'ascèse verbale et l'humilité.