Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Pour Jean Carmet, écrire était une manière de regarder sa vie et presque de la revivre, d'en goûter la saveur - souvent amère -, d'établir avec...
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Résumé
Pour Jean Carmet, écrire était une manière de regarder sa vie et presque de la revivre, d'en goûter la saveur - souvent amère -, d'établir avec elle une distance qui le protégeait et qui avivait son regard. Nous avons essayé d'éviter toute redite avec je suis le badaud de moi-même, même si parfois les mêmes thèmes, les mêmes visages se présentent. Il s'agit ici d'un " semblant de journal ", d'une écriture clandestine qu'il cachait à tous, de confessions précises, même si une dérision particulière les maquille, et d'un rapport purement sensuel avec les mots. On dirait qu'il écrit avec des odeurs, avec des échos. On dirait qu'il écrit par nostalgie de ne pas être un écrivain. Je me suis demandé s'il aurait apprécié la publication de ces révélations sur lui-même. Je crois que oui, finalement. Mais il aurait sans doute ajouté : " A condition que je n'en sache rien. "