Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
" Tu peux toujours la gerber ta bile, la haine du bourgeois ça te remonte des viscères avec cette faim de vivre vulgaire qui te travaille en profondeur......
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Résumé
" Tu peux toujours la gerber ta bile, la haine du bourgeois ça te remonte des viscères avec cette faim de vivre vulgaire qui te travaille en profondeur... ". Dès les trois premières lignes le ton est donné. La haine du bourgeois qui s'est seul sorti du tiers état en appuyant bien son pied sur la tête du peuple. Voilà comment plus de deux siècles plus tard Moreau voit sa condition d'enfant d'ouvriers qu'un communisme abandonnera en s'oubliant lui-même. Alors, comme pour mieux effacer les désillusions historiques successives, il remonte à la source et redécouvre les sans culottes, ses aïeux politiques, pour continuer de traverser et comprendre cette existence, pour continuer d'aimer... Ça ira, oui ça ira, le bonheur des uns ne pourra pas éternellement se construire sur le malheur des autres.