Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Ces poèmes satiriques ont paru entre 1944 et 1954 dans le journal anarcho-syndicaliste suédois. Ils se situent au point d'intersection des deux activités...
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Ces poèmes satiriques ont paru entre 1944 et 1954 dans le journal anarcho-syndicaliste suédois. Ils se situent au point d'intersection des deux activités de Dagerman : la littérature et le journalisme. Il y traite en effet de l'actualité en poète et en anarchiste convaincu. Le titre de ces billets (Dagsedlar) est un chef-d'œuvre : il veut en effet dire, littéralement, billet quotidiens ; mais il n'est pas exclu d'y lire billet de Dag(erman) ni d'y voir une allusion à peine déguisée à l'expression populaire suédoise " donner un coup sur la gueule à quelqu'un ". Jusques après son dernier souffle, Dagerman aura ainsi poussé ses " coups de gueule " et tapé sur toutes les formes de la bêtise humaine. Cela devrait suffire à faire de lui un perpétuel contemporain.