« Les contes de fées finissent bien. Et ceci n’en est pas un. »
L’attente aura été longue pour ce diptyque dont quelques pages diffusés de temps en temps montraient, qu’à coup sûr, il serait magnifique. Les connaisseurs de Enrico Marini n’en doutaient pas et le résultat final ne déçoit, en aucun cas, par sa beauté. Marini nous plonge ici dans ce qui semble être un sombre conte (Batman oblige) où un chevalier noir a entre ses mains la destinée d’un être qui lui est tout particulièrement cher.
Si le scénario peut s’avérer assez classique (voir prévisible), il
n’en reste pas moins efficace. Quant aux dessins, ils sont simplement somptueux. L’ambiance, sombre et sinistre, de Gotham est parfaitement retranscrite. Le pari est réussi.
Batman par Marini
« Les contes de fées finissent bien. Et ceci n’en est pas un. »
L’attente aura été longue pour ce diptyque dont quelques pages diffusés de temps en temps montraient, qu’à coup sûr, il serait magnifique. Les connaisseurs de Enrico Marini n’en doutaient pas et le résultat final ne déçoit, en aucun cas, par sa beauté. Marini nous plonge ici dans ce qui semble être un sombre conte (Batman oblige) où un chevalier noir a entre ses mains la destinée d’un être qui lui est tout particulièrement cher.
Si le scénario peut s’avérer assez classique (voir prévisible), il n’en reste pas moins efficace. Quant aux dessins, ils sont simplement somptueux. L’ambiance, sombre et sinistre, de Gotham est parfaitement retranscrite. Le pari est réussi.