Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Amos Gitaï retrace l'histoire et les enjeux de son pays en alternant documentaires et fictions. D'abord étudiant en architecture, il réalise au cours...
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Amos Gitaï retrace l'histoire et les enjeux de son pays en alternant documentaires et fictions. D'abord étudiant en architecture, il réalise au cours des années 70 une trentaine de courts métrages dont les sujets se resserrent très vite autour des questions d'espace et de territoires, bases et principes cinématographiques de celui qui ne cessera dès lors de filmer les lieux et leur mémoire pour en faire surgir d'autres vérités. De l'histoire d'une maison à l'observation des contradictions qui traversent cette terre, des guerres de conquête ou de défense aux rapports déséquilibrés entre le tiers-monde et les pays les plus riches, Amos Gitaï a placé l'histoire, l'émigration et l'exil au cœur de son cinéma. Ce livre propose un parcours poétique au sein d'une œuvre singulière, à travers des images clés sélectionnées par le cinéaste dans plus de soixante-dix films dont House, Wadi, Journal de campagne, Ananas, Devarim, L'Arène du meurtre, Kadosh, Kippour, Kedma et Alila. Introduit par un essai de Jean-Michel Frodon, l'ouvrage est complété par une filmographie annotée proposant des extraits des textes critiques produits sur chaque film dans de nombreux pays. Le livre et l'exposition accompagnent la première rétrospective intégrale de l'œuvre d'Amos Gitaï qui est présentée par le Centre Pompidou en octobre 2003.