Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Lors du lancement du premier concours littéraire des collégiens des Alpes-Maritimes par le Conseil général, le 24 février 2005, les écrivains du...
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Lors du lancement du premier concours littéraire des collégiens des Alpes-Maritimes par le Conseil général, le 24 février 2005, les écrivains du jury affirmaient espérer retrouver l'innocence et la foi qui étaient les leurs à l'époque où leurs écrits - maladroits - finissaient au fond des tiroirs. Dès lors, ce qu'ils attendaient de la découverte des textes qui leur seraient soumis ne devait pas être le génie, mais plutôt la sincérité. Quatre mois plus tard, lors de la remise officielle des récompenses, le pari était gagné ! Ce concours d'écriture de nouvelles, lancé à l'instigation de Raoul Mille et présidé par Didier van Cauwelaert, eut un franc succès. Il se démarqua par l'indéniable qualité des productions remises par plus d'une centaine d'élèves issus d'une quinzaine d'établissements. S'approprier les ressources patrimoniales d'un département n'est pas chose facile et les collégiens ont su, au travers d'écrits narratifs et de fiction, sortir des sentiers déjà tracés et offrir aux membres du jury leur vision de l'écriture et de la narration, en les tenant en haleine, ce qui demeure l'apanage des plumes averties. Pour cette quatrième édition, vingt collèges et près de deux cents élèves ont participé à la compétition. Mais un concours demeure un concours... et seuls les meilleurs d'entre les meilleurs furent récompensés pour leur talent d'exception. "Alpes-Maritimes, terre d'accueil ", la thématique retenue prenait alors une tout autre dimension pour ces jeunes nouvellistes, à qui la promesse fut faite d'éditer et de publier leurs récits.